Le gouvernement australien est resté relativement discret sur les assurances américaines concernant Julian Assange. CN en direct! s'entretient avec un sénateur australien, un avocat et un ancien diplomate pour connaître son point de vue.
MISE À JOUR AVEC LE TEXTE D'UNE NOTE DIPLOMATIQUE : Les États-Unis ont déposé mardi des assurances sur la peine de mort et le 1er amendement, ce dernier étant qualifié de « non-assurance » par Stella Assange.
MISE À JOUR : La Haute Cour a jugé que les États-Unis devaient garantir la liberté d'expression et aucune peine de mort pour Julian Assange, sinon le tribunal pourrait devoir libérer l'éditeur qui a marqué cinq ans de prison aujourd'hui, rapporte Joe Lauria.
La Haute Cour a rejeté mardi six motifs d’appel d’Assange, reconnaissant qu’il n’avait que trois arguments légitimes mais que les États-Unis pouvaient les annuler avec de nouvelles « assurances », rapporte Joe Lauria.
Un sénateur australien et un député discutent d'une lettre adressée au ministre britannique de l'Intérieur demandant « une évaluation urgente, approfondie et indépendante » des risques pour la santé de Julian Assange, s'il était envoyé aux États-Unis.
La justice de la Haute Cour a fait peu de cas de motifs d'appel sérieux pour empêcher l'extradition de l'éditeur de WikiLeaks emprisonné, Julian Assange, rapporte Tareq Haddad.
La Haute Cour d'Angleterre et du Pays de Galles, dans une décision de trois pages, a rejeté les huit motifs d'appel, ouvrant Julian Assange à l'extradition vers les États-Unis.
Si Julian Assange est extradé, il fera l'objet de poursuites en vertu d'une loi sévère sur l'espionnage qui trouve ses racines dans la loi britannique sur les secrets officiels et qui s'inscrit dans une histoire de répression de la liberté de la presse, rapporte Joe Lauria.
Contrairement à l'Allemagne et à la France, par exemple, qui suivent parfois à contrecœur les ordres de Washington, la Grande-Bretagne participe activement à l'aventurisme américain, dit Joe Lauria.