L'ancien diplomate britannique Craig Murray discute de la signification des « assurances » américaines sur Julian Assange et du désastre brassicole au Moyen-Orient sur CN Live !
MISE À JOUR AVEC LE TEXTE D'UNE NOTE DIPLOMATIQUE : Les États-Unis ont déposé mardi des assurances sur la peine de mort et le 1er amendement, ce dernier étant qualifié de « non-assurance » par Stella Assange.
L'éditeur de WikiLeaks pourrait voir son recours contre l'extradition entendu si les États-Unis ne donnent pas des « assurances satisfaisantes » quant aux droits et à la protection contre la peine de mort, écrit Marjorie Cohn.
Les tribunaux britanniques ont refusé pendant cinq ans une procédure régulière à Julian Assange alors que sa santé physique et mentale se détériorait. C’est le but de son procès-spectacle.
Les États-Unis ont eu des années pour clarifier leur intention d’accorder à Assange un procès équitable, mais refusent de le faire, écrit Jonathan Cook. Le véritable objectif est de le garder enfermé pour toujours.
En mai 2013, Hedges a démissionné de PEN America lorsqu'elle a nommé Suzanne Nossel, ancienne responsable du Département d'État, à sa tête. Une décennie plus tard, PEN America est devenu le bras de propagande de l’État, notamment sur Julian Assange.
Lors de l'examen périodique du Royaume-Uni par le Comité des droits de l'homme de l'ONU, l'auteur a évoqué les crimes de guerre américains révélés par WikiLeaks et les violations britanniques des droits politiques et civils de l'éditeur.
Le sénateur australien David Shoebridge a évoqué le danger de la peine de mort pour Julian Assange lors de cette discussion après la projection à Sydney du nouveau film, The Trust Fall. (avec transcription)
L'éditeur de WikiLeaks pourrait bientôt se rendre aux États-Unis pour y être jugé pour avoir révélé des crimes de guerre, rapporte Matt Kennard. Ce à quoi il serait confronté là-bas est terrifiant au-delà des mots.