
La réaction émotionnelle de l'administration Obama face à l'attaque chimique présumée en Syrie peut être compréhensible étant donné le bilan humain, mais les appels à l'action au plus haut niveau ont mis la pression sur les analystes du renseignement qui évaluent les preuves. Cela aurait également pu fausser leurs jugements, comme l’a souligné un ancien analyste de la CIA…