Le ministère britannique de la Défense refuse de donner de nouvelles informations sur l'atterrissage d'avions militaires israéliens en Grande-Bretagne, peut-être pour protéger ses ministres de poursuites, rapporte Matt Kennard.
Le lanceur d'alerte australien David McBride était de retour devant le tribunal lundi pour son audience de détermination de la peine dans une affaire dans laquelle ses révélations ont révélé des crimes de guerre australiens en Afghanistan.
Le gouvernement britannique a protégé à plusieurs reprises des politiciens, des espions et des soldats israéliens contre l’arrestation pour crimes de guerre lors de leurs visites en Grande-Bretagne, révèlent John McEvoy et Phil Miller.
La Maison Blanche a soutenu la réautorisation de la surveillance qui, malgré un nouveau record d'abus de routine, étend le pouvoir d'espionnage des agences de sécurité, écrit Kevin Gosztola.
Le gouvernement australien est resté relativement discret sur les assurances américaines concernant Julian Assange. CN en direct! s'entretient avec un sénateur australien, un avocat et un ancien diplomate pour connaître son point de vue.
L'ancien diplomate britannique Craig Murray discute de la signification des « assurances » américaines sur Julian Assange et du désastre brassicole au Moyen-Orient sur CN Live !
Contrairement à Washington, Berlin – le deuxième plus grand fournisseur d'armes d'Israël – a consenti à la pleine juridiction de la CIJ, ce qui en fait une cible plus facile pour le procès du Nicaragua, écrit Marjorie Cohn.
MISE À JOUR AVEC LE TEXTE D'UNE NOTE DIPLOMATIQUE : Les États-Unis ont déposé mardi des assurances sur la peine de mort et le 1er amendement, ce dernier étant qualifié de « non-assurance » par Stella Assange.
MISE À JOUR : La Haute Cour a jugé que les États-Unis devaient garantir la liberté d'expression et aucune peine de mort pour Julian Assange, sinon le tribunal pourrait devoir libérer l'éditeur qui a marqué cinq ans de prison aujourd'hui, rapporte Joe Lauria.