Le ministère britannique de la Défense refuse de donner de nouvelles informations sur l'atterrissage d'avions militaires israéliens en Grande-Bretagne, peut-être pour protéger ses ministres de poursuites, rapporte Matt Kennard.
Le travail des médias consiste à créer de l'incertitude, du doute et de la confusion. Notre travail consiste à faire exploser ce mensonge, en leur refusant, ainsi qu'à la classe politique, tout alibi, a déclaré Jonathan Cook lors d'un rassemblement pour la paix à Bristol ce week-end.
Le gouvernement britannique a protégé à plusieurs reprises des politiciens, des espions et des soldats israéliens contre l’arrestation pour crimes de guerre lors de leurs visites en Grande-Bretagne, révèlent John McEvoy et Phil Miller.
Le gouvernement de Tony Blair a coordonné une campagne secrète pour convaincre le public que le bombardement de la Yougoslavie par l'OTAN en 1999 était une juste cause, écrit Patrick O'Reilly.
L'implication directe de la Grande-Bretagne dans le raid de l'OTAN qui a tué un civil monténégrin peut être révélée pour la première fois, rapporte Phil Miller.
L’auteur n’a aucun doute que l’élite politique occidentale est complice du génocide des Palestiniens à un niveau bien plus profond que ce que le peuple a encore compris.
Le gouvernement australien est resté relativement discret sur les assurances américaines concernant Julian Assange. CN en direct! s'entretient avec un sénateur australien, un avocat et un ancien diplomate pour connaître son point de vue.
MISE À JOUR : Vidéo de la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU jeudi lorsque les États-Unis ont opposé leur veto à l'adhésion à part entière de la Palestine à l'ONU alors que la délégation russe a quitté en signe de protestation avant le discours d'Israël. Joe Lauria rapporte.
L'ancien diplomate britannique Craig Murray discute de la signification des « assurances » américaines sur Julian Assange et du désastre brassicole au Moyen-Orient sur CN Live !
MISE À JOUR AVEC LE TEXTE D'UNE NOTE DIPLOMATIQUE : Les États-Unis ont déposé mardi des assurances sur la peine de mort et le 1er amendement, ce dernier étant qualifié de « non-assurance » par Stella Assange.