Le gouvernement britannique a protégé à plusieurs reprises des politiciens, des espions et des soldats israéliens contre l’arrestation pour crimes de guerre lors de leurs visites en Grande-Bretagne, révèlent John McEvoy et Phil Miller.
Fatma Khaled rend compte de Cairo Gaza, un groupe d'activistes qui fait pression sur le gouvernement d'el-Sisi pour qu'il maintienne ouvert le terminal de Rafah afin de laisser entrer l'aide à Gaza sans la permission d'Israël.
Des milliers de Palestiniens – et d’autres Arabes – planifieront de violents actes de vengeance contre Gaza. Jusqu’où les gouvernements arabes iront-ils pour protéger les intérêts américains et israéliens de leurs populations en colère ?
Lors de l'examen périodique du Royaume-Uni par le Comité des droits de l'homme de l'ONU, l'auteur a évoqué les crimes de guerre américains révélés par WikiLeaks et les violations britanniques des droits politiques et civils de l'éditeur.
Une invasion israélienne de Rafah ne modifiera pas le champ de bataille en faveur de l'armée israélienne, mais elle sera horrible pour les Palestiniens déplacés, écrit Ramzy Baroud.
Les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays du Conseil ont participé à la réunion mercredi, au cours de laquelle certains pays ont décrié les massacres, tandis que d'autres ont défendu Israël. Aucune solution à la guerre n'a été trouvée.
Le Canada, Israël et trois pays insulaires du Pacifique ont également voté mardi à l'Assemblée générale contre ce qui constitue le droit international depuis 1967, à savoir qu'Israël doit mettre fin à son occupation du plateau du Golan syrien.
Radio New Zealand (RNZ), par exemple, affirme avoir décidé de ne pas diffuser ni rapporter les remarques d'un invité palestinien parce que cela « aurait volé un temps précieux » aux personnes interviewées, écrit Mick Hall.
Des journalistes et des militants du monde entier se rassemblent au Caire avant de se diriger vers le seul poste frontière avec Gaza non contrôlé par Israël, rapporte Mahmoud Hashem.