Richard Medhurst — dont les outils de journalisme ont été confisqués et qui fait l’objet d’une enquête pour « terrorisme » en raison de ses reportages sur la Palestine et le Liban — parle de ses expériences au Royaume-Uni et en Autriche.
Le dynamitage, par l’administration Trump, d’institutions délabrées et corrompues marquera la fin de l’expérience américaine et le passage du totalitarisme inversé à la dictature.
Le 11 avril 1945, les États-Unis prirent le contrôle du camp de concentration de Buchenwald. Mais ce sont les prisonniers communistes qui organisèrent et libérèrent le camp nazi. Aujourd'hui, ces victoires héroïques de la résistance antifasciste sont remises en question.
Les principaux partis de la plupart des « démocraties » occidentales soutiennent le génocide israélien. Il s'agit d'un changement radical de philosophie et d'une évolution structurelle au sein des gouvernements les plus répréhensibles.
L'université néolibérale n'a pas besoin de censure ouverte, écrit Samyuktha Kannan. Elle a perfectionné l'art du contrôle silencieux. Ce n'est pas qu'on nous dise explicitement ce qui ne peut être écrit ; c'est qu'avec le temps, on apprend simplement ce qui est trop dangereux…
Les universités d'élite, effrayées par la répression de la liberté d'expression par Trump, continuent leur histoire de soutien à la ploutocratie, nous livrant ainsi dans les bras du fascisme.
« Mon arrestation est une conséquence directe de l’exercice de mon droit à la liberté d’expression », écrit Mahmoud Khalil dans sa lettre depuis le centre de détention de l’ICE.
Ralph Nader affirme que si l'on exclut la communauté civique, on met fin à la démocratie. Il impute la responsabilité de ce phénomène, en premier lieu, aux médias.
Un juge fédéral américain a fixé jusqu'à jeudi au gouvernement américain et à NewsGuard pour répondre à un décret interdisant l'implication du gouvernement dans la censure.
Le Premier ministre britannique a convoqué un sommet « d'urgence » à Londres après le fiasco du Bureau ovale pour tenter de convaincre le monde que ce ne sera pas la faute de l'Europe, mais celle de l'Amérique (lire : Donald Trump) lorsque l'Ukraine s'effondrera, écrit Joe Lauria.