MISE À JOUR AVEC LE TEXTE D'UNE NOTE DIPLOMATIQUE : Les États-Unis ont déposé mardi des assurances sur la peine de mort et le 1er amendement, ce dernier étant qualifié de « non-assurance » par Stella Assange.
L'éditeur de WikiLeaks pourrait voir son recours contre l'extradition entendu si les États-Unis ne donnent pas des « assurances satisfaisantes » quant aux droits et à la protection contre la peine de mort, écrit Marjorie Cohn.
L’empire américain ne chasse pas comme un tigre, tuant sa proie d’une morsure mortelle à la jugulaire ; mais plus comme un python : étouffant lentement la vie jusqu'à ce qu'il périsse, écrit Caitlin Johnstone.
La Haute Cour a rejeté mardi six motifs d’appel d’Assange, reconnaissant qu’il n’avait que trois arguments légitimes mais que les États-Unis pouvaient les annuler avec de nouvelles « assurances », rapporte Joe Lauria.
Une histoire illusoire qui transforme le journalisme en un mal unique parce qu'il expose les crimes secrets américains a été entendue mercredi dans une salle d'audience de Londres alors que le sort de Julian Assange n'a pas encore été déterminé, rapporte Joe Lauria.
Chris Hedges a interviewé Stella Assange, Jen Robinson et Kristinn Hrafnsson lundi au sujet de l'audience de cette semaine dans l'affaire d'extradition de Julian Assange.
Les avocats de l'éditeur WikiLeaks accusent les tribunaux britanniques de détourner le regard, tandis que les États-Unis ont déformé et retenu des preuves pour organiser son extradition, rapporte Cathy Vogan.
Consortium News se rendra cette semaine à la Cour royale de justice pour ce qui pourrait être la dernière audience de Julian Assange en Grande-Bretagne. Les journalistes étrangers n’ont pas accès à la couverture à distance.