Un trop grand nombre de ceux qui protestent contre le retrait des forces américaines sont les auteurs de la catastrophe qui a mis la Syrie en pièces, rapporte Max Blumenthal pour Consortium News.
Tag: État islamique d'Irak et Syrie
Des pions dans le jeu : une brève histoire de l'Amérique et des Kurdes
Les Kurdes se retrouvent pris au milieu d’une lutte de pouvoir entre les États-Unis, la Russie, la Turquie, l’Iran et la Syrie – une situation familière qui fait suite à des décennies de conflits géopolitiques dans leur région, explique Ted Snider.
S’enfoncer plus profondément au Moyen-Orient
Combien y a-t-il de combattants de l’État islamique ?
Le plan néoconservateur pour la guerre et encore la guerre
Obama critiqué pour sa sensibilisation à l'Iran
Les néoconservateurs américains sont furieux que le président Obama ait envoyé une lettre au guide suprême iranien, Ali Khamenei, exhortant apparemment à des concessions sur les négociations nucléaires et faisant référence à des intérêts communs dans la lutte contre les radicaux de l'État islamique, mais la lettre pourrait refléter une diplomatie intelligente, dit…
La politique syrienne très conflictuelle d'Obama
La politique du président Obama à l'égard de la Syrie est tiraillée dans tellement de directions qu'elle manque de cohérence, d'autant plus que les rebelles « modérés » syriens soutenus par les États-Unis forment une alliance tacite avec les ramifications d'Al-Qaïda qui sont la cible des frappes aériennes américaines.
Oublier les leçons du terrorisme
Les tactiques terroristes ont toujours été en partie un théâtre conçu pour susciter une réaction du public, que ce soit pour attirer l’attention sur un grief ou pour entraîner l’armée américaine dans un conflit. Pourtant, les polonais et les experts américains semblent avoir oublié cette réalité et…
Se précipiter à la guerre aux mauvais endroits
La « pensée de groupe » officielle de Washington est que le président Obama est « faible » parce qu'il ne se précipite pas dans les guerres avec l'abandon que souhaiterait le favori des talk-shows John McCain. Mais Obama est peut-être en réalité « faible » parce qu’il est poussé dans des conflits que l’ex-CIA…
Les yeux enfin ouverts sur les réalités syriennes
Exclusif : Au cours des trois dernières années, Washington a considéré la guerre civile syrienne comme celle de rebelles « à chapeau blanc » contre le président « à chapeau noir » Assad, mais finalement une partie de la réalité « à chapeau gris » fait son apparition, mais peut-être aussi. tard, rapporte Robert Parry.