Tag: État islamique d'Irak et Syrie

S’enfoncer plus profondément au Moyen-Orient

Les déserts du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord sont devenus une sorte de sables mouvants pour les décideurs politiques américains : plus ils se débattent violemment, plus vite ils coulent, la dernière vague de guerre contre l’État islamique aggravant la situation,…

Le plan néoconservateur pour la guerre et encore la guerre

Exclusif : Un test majeur pour le président Obama est de savoir s'il, face aux victoires républicaines à mi-mandat, se soumettra aux exigences des néoconservateurs en faveur de davantage de guerres au Moyen-Orient et d'une coûteuse guerre froide avec la Russie ou s'il obtiendra finalement…

Obama critiqué pour sa sensibilisation à l'Iran

Les néoconservateurs américains sont furieux que le président Obama ait envoyé une lettre au guide suprême iranien, Ali Khamenei, exhortant apparemment à des concessions sur les négociations nucléaires et faisant référence à des intérêts communs dans la lutte contre les radicaux de l'État islamique, mais la lettre pourrait refléter une diplomatie intelligente, dit…

La politique syrienne très conflictuelle d'Obama

La politique du président Obama à l'égard de la Syrie est tiraillée dans tellement de directions qu'elle manque de cohérence, d'autant plus que les rebelles « modérés » syriens soutenus par les États-Unis forment une alliance tacite avec les ramifications d'Al-Qaïda qui sont la cible des frappes aériennes américaines.

Oublier les leçons du terrorisme

Les tactiques terroristes ont toujours été en partie un théâtre conçu pour susciter une réaction du public, que ce soit pour attirer l’attention sur un grief ou pour entraîner l’armée américaine dans un conflit. Pourtant, les polonais et les experts américains semblent avoir oublié cette réalité et…

Se précipiter à la guerre aux mauvais endroits

La « pensée de groupe » officielle de Washington est que le président Obama est « faible » parce qu'il ne se précipite pas dans les guerres avec l'abandon que souhaiterait le favori des talk-shows John McCain. Mais Obama est peut-être en réalité « faible » parce qu’il est poussé dans des conflits que l’ex-CIA…

Les yeux enfin ouverts sur les réalités syriennes

Exclusif : Au cours des trois dernières années, Washington a considéré la guerre civile syrienne comme celle de rebelles « à chapeau blanc » contre le président « à chapeau noir » Assad, mais finalement une partie de la réalité « à chapeau gris » fait son apparition, mais peut-être aussi. tard, rapporte Robert Parry.