Le gouvernement israélien a mené une campagne de dix ans pour protéger ses responsables des poursuites pénales en Grande-Bretagne, comme le montrent des documents divulgués, rapporte John McEvoy.
L’alliance maniaque entre les États-Unis et Israël a révélé le simulacre de la démocratie occidentale et l’illusion du droit international, écrit Margaret Kimberley.
Les manifestants de New York entendent dénoncer la visite du Premier ministre à l'ONU, dont les membres ont exigé la semaine dernière qu'Israël mette fin à son occupation illégale des territoires palestiniens.
Mick Hall analyse un reportage de la Australian Broadcasting Corporation — 11 mois après le début d'un génocide — sur l'utilisation par l'armée israélienne de la directive Hannibal pour tuer ses propres citoyens.
Chaque jour où le gouvernement travailliste retarde l'interdiction de toutes les armes à destination d'Israël – et pas seulement de quelques-unes –, la Grande-Bretagne contribue davantage aux crimes contre l'humanité commis par Israël, écrit Jonathan Cook.
Les commentaires du ministre israélien des Finances sur la famine cette semaine ont été considérés comme un « aveu explicite d’adopter et de se vanter de la politique de génocide ».
« Coupable de génocide » — le seul membre palestino-américain du Congrès a brandi une pancarte lors du discours du dirigeant israélien mercredi, que plus de 100 législateurs américains ont boycotté.
La nouvelle apparition au Congrès du Premier ministre israélien donne l’impression qu’il est le président américain et qu’Israël et les États-Unis ne forment qu’un seul pays, écrit Corinna Barnard.
Des ressortissants britanniques combattent sur la ligne de front à Gaza, aidant l'armée israélienne à imposer son « siège total » sur des millions de Palestiniens, écrit Hamza Yusuf.