Les Casques bleus de l'ONU au Liban sont autorisés à utiliser la force dans plusieurs circonstances, notamment en cas de légitime défense et de prévention d'actions hostiles dans leur zone de déploiement, écrit Joe Lauria.
Le département d’État américain n’a pas tenu de conférence de presse jeudi, ce qui est compréhensible, étant donné la difficulté de suivre – et encore moins de justifier – la criminalité de son allié Israël.
Israël continue de s'isoler diplomatiquement après que l'armée israélienne ait déployé toute son influence avec les forces de maintien de la paix de l'ONU au Liban, écrit Mick Hall.
Bien que le tableau général des événements du 7 octobre soit devenu plus clair, une enquête indépendante est nécessaire pour comprendre pleinement les événements, écrit Robert Inlakesh.
L’alliance maniaque entre les États-Unis et Israël a révélé le simulacre de la démocratie occidentale et l’illusion du droit international, écrit Margaret Kimberley.
Le guide suprême iranien a déclaré lors d'un rassemblement à Téhéran que la région ne bénéficierait d'une coexistence pacifique qu'après le départ des États-Unis et de l'Europe.
MISE À JOUR : Lisez l'intégralité des remarques de Julian Assange, y compris les questions-réponses, à Strasbourg mardi matin, sur l'accord de plaidoyer, le travail de WikiLeaks, la loi sur l'espionnage, les représailles de la CIA et plus encore.