Comme ce fut le cas en juin 1982, le peuple américain doit envoyer un signal collectif indiquant qu’il ne tolérera pas les politiques conduisant à une guerre nucléaire.
Les partisans de Julian Assange se sont rassemblés dimanche à l'hôtel Harold Park de Sydney pour célébrer sa sortie de prison et son arrivée en Australie.
Le commentaire du président américain en exercice dans l'interview de vendredi a été ignoré par le grand public, mais sa mégalomanie est au cœur de la raison pour laquelle Joe Biden défie son parti et reste dans la course, écrit Joe Lauria.
Le nouveau Premier ministre britannique contrôle un arsenal nucléaire capable de tuer des millions de personnes, écrit Richard Norton-Taylor. L’histoire suggère qu’il devrait être abandonné.
Les dirigeants de l’OTAN devraient procéder à un examen lucide de la manière dont l’organisation qui prétend être une force de paix continue d’intensifier des guerres impossibles à gagner et de laisser des pays en ruines, estiment Medea Benjamin et Nicolas JS Davies.
L’anglo-saxonisation de la politique étrangère et militaire américaine est devenue un trait distinctif – et provocateur – de la présidence Biden, écrit Michael Klare.