Bien avant le 7 octobre, le discours sioniste-israélien a toujours été celui du racisme, de la déshumanisation, de l'effacement et, parfois, du pur génocide, écrit Ramzy Baroud.
Le lieutenant-colonel Raphael Eitan, à gauche, avec d'autres commandants israéliens, rendant visite aux soldats de Tsahal et de l'ONU au Liban, juin 1982. (Unité du porte-parole de Tsahal, Wikimedia Commons, CC BY-SA 3.0)
"(Tutsis) sont des cafards. Nous allons vous tuer.
Les Arabes sont comme des « cafards drogués dans une bouteille ».
La première citation était une phrase fréquemment répétée par le Radio Télévision Libre des Mille Collines, une radio rwandaise largement accusée d'incitation à la haine envers le peuple tutsi.
La seconde est celle de l’ancien chef d’état-major de l’armée israélienne, le général Rafael Eitan, en 1983 : parlant dans une commission du parlement israélien.
La radio haineuse du Rwanda réalisés pendant seulement un an (1993-94), mais le résultat de son incitation a abouti à l’un des épisodes les plus tristes et les plus tragiques de l’histoire humaine moderne : le génocide des Tutsis.
Comparez le « génocide radiophonique » à la propagande massive israélo-américaine-occidentale, déshumanisant les Palestiniens avec un langage presque identique à celui utilisé par les médias hutus.
Beaucoup semblent oublier que, bien avant la guerre de Gaza du 7 octobre, et même bien avant la création d'Israël elle-même en 1948, le discours sioniste-israélien a toujours été celui du racisme, de la déshumanisation, de l'effacement et, parfois, du génocide pur et simple. .
Si l’on choisit au hasard n’importe quelle période de l’histoire israélienne pour examiner le discours politique émanant des responsables, des institutions et même des intellectuels israéliens, on doit tirer la même conclusion : Israël a toujours construit un récit d’incitation et de haine, faisant ainsi un argument constant pour le génocide des Palestiniens.
Ce n’est que récemment que cette intention génocidaire est devenue évidente pour de nombreuses personnes.
Raz Segel est un Israélien qui dirige les études sur l'Holocauste et le génocide à l'Université de Stockton.
Il dit qu'Israël est en train de commettre un génocide à Gaza et que les dirigeants israéliens affichent ouvertement leur intention particulière de commettre un génocide contraire au droit international. pic.twitter.com/6Ru8ru7lQE
- Kim Dotcom (@KimDotcom) 24 octobre 2023
"Il y a... un risque de génocide contre le peuple palestinien", estiment les experts de l'ONU dit dans un communiqué du 19 octobre. Mais ce « risque de génocide » n’est pas né des événements récents.
En effet, des actions politiques ou militaires efficaces, où que ce soit dans le monde, n’ont guère lieu sans un édifice de textes et de langages qui facilitent, rationalisent et justifient ces actions. La perception qu'a Israël des Palestiniens est une parfaite illustration de cette affirmation.
Avant la création d’Israël, les sionistes niaient l’existence même des Palestiniens. Beaucoup le font encore.
Lorsque tel est le cas, il devient logique de tirer la conclusion qu’Israël, dans son propre esprit collectif, ne peut pas être moralement coupable du meurtre de ceux qui n’ont jamais existé.
Même lorsque les Palestiniens sont pris en compte dans le discours politique israélien, ils deviennent «animaux assoiffés de sang», « terroristes » ou « drogués » les cafards dans une bouteille.
Il serait trop commode de qualifier cela de simplement « raciste ». Bien que le racisme soit à l’œuvre ici, ce sentiment de suprématie raciale n’existe pas simplement pour maintenir un ordre sociopolitique dans lequel les Israéliens sont les maîtres et les Palestiniens les serfs. C’est bien plus complexe.
Dès que les combattants palestiniens de Gaza croisés jusqu’à la frontière sud d’Israël, tuant des centaines de personnes, pas un seul politicien, analyste ou intellectuel israélien ne semblait intéressé par le contexte de cet acte audacieux.
L'après-octobre. Le langage utilisé par les Israéliens, mais aussi par de nombreux Américains, a créé l'atmosphère nécessaire à la réponse sauvage israélienne qui a suivi.
Le nombre de Palestiniens tués au cours des huit premiers jours de la guerre israélienne contre Gaza aurait dépassé le nombre de victimes tuées au cours de la guerre israélienne la plus longue et la plus destructrice dans la bande de Gaza, surnommée « Bordure protectrice », en 2014.
Crise à Gaza, juillet 2014. (Organisation caritative, Flickr, CC PAR 2.0)
Selon Défense des Enfants International – Palestine, un enfant palestinien est tué toutes les 15 minutes et, selon le ministère palestinien de la Santé, sur 70 pour cent Toutes les victimes à Gaza sont des femmes et des enfants.
Pour Israël, aucun de ces faits n’a d’importance. Dans le l'esprit Du président israélien Isaac Herzog, souvent perçu comme un « modéré », la « rhétorique selon laquelle les civils ne (sont) pas impliqués (est) absolument fausse ». Ce sont des cibles légitimes, simplement parce qu'ils « auraient pu se soulever, ils auraient pu lutter contre ce régime maléfique », a-t-il déclaré, faisant référence au Hamas.
Par conséquent, « c’est toute une nation qui est responsable », selon Herzog, qui a promis de se venger.
Ariel Kallner, membre du parti Likoud du Premier ministre Benjamin Netanyahu, expliqué L'objectif d'Israël derrière la guerre à Gaza. « Pour l’instant, un seul objectif : la Nakba ! Une Nakba qui éclipsera la Nakba de 1948 », a-t-il déclaré.
Gallant et le secrétaire américain à la Défense Lloyd Austin à Tel Aviv le 9 mars 2023. (DoD, Alexandre Kubitza)
Le même sentiment était transmis » par le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant, l'homme chargé de traduire la déclaration de guerre d'Israël en un plan d'action : « Nous combattons les animaux humains et nous agirons en conséquence », a-t-il déclaré le 9 octobre. « En conséquence », ici, cela signifiait que « il n'y aura ni électricité, ni nourriture, ni carburant. Tout est fermé." Et bien sûr, des milliers de civils morts.
Puisque les plus hautes autorités politiques israéliennes ont déjà déclaré que tous les Palestiniens sont collectivement responsables des événements du 7 octobre, cela signifie que tous les Palestiniens sont, selon Gallant, Évaluation de risque climatique, des « animaux humains », ne méritant aucune pitié.
Comme on pouvait s'y attendre, les partisans d'Israël aux États-Unis et dans d'autres pays occidentaux se sont joints au chœur, utilisant également le langage le plus violent et le plus déshumanisant, cimentant ainsi le discours politique israélien dominant parmi les gens ordinaires.
25 janvier 2020 : Nikki Haley, ancienne ambassadrice américaine auprès de l'ONU, à la résidence de l'ambassadeur américain en Israël David Friedman. (Ambassade américaine à Jérusalem, Flickr, CC PAR 2.0)
Nikki Haley, candidate à la présidentielle américaine dit Fox News le 10 octobre, que l’attaque du Hamas n’était pas seulement contre Israël mais « est une attaque contre l’Amérique ». C'est alors qu'elle fait sa sinistre déclaration, en regardant directement la caméra,
« Netanyahu, finissez-les, finissez-les… finissez-les ! »
Même si le président américain Joe Biden et son secrétaire d’État Antony Blinken n’ont pas utilisé exactement les mêmes mots, ils ont tous deux fait comparaisons entre les événements du 7 octobre et les attentats terroristes du 9 septembre. Le sens derrière cela ne nécessite aucune élaboration.
Pour sa part, le sénateur américain Lindsey Graham ralliés Les partisans conservateurs et religieux américains, déclarant le 11 octobre également Fox News,
« Nous sommes dans une guerre de religion ici… Faites tout ce que vous avez à faire… Nivelez l’endroit. »
Des propos bien plus nombreux, tout aussi sinistres, ont été – et continuent – d’être prononcés. Le résultat est diffusé 24 heures sur 24. Israël est en train « d’achever » la population civile de Gaza, il « rase » des milliers de maisons, de mosquées, d’hôpitaux, d’églises et d’écoles. En fait, cela produit un autre épisode douloureux de la Nakba.
Extrait de « Les Palestiniens n’existaient pas » de Golda Meir (1969) Pour Menachem Begin, les Palestiniens sont des « bêtes qui marchent sur deux pattes » (1982), à Eli Ben Dahan : « Les Palestiniens sont comme des animaux, ils ne sont pas humains » (2013), à de nombreuses autres références racistes et déshumanisantes, le discours sioniste reste inchangé.
Maintenant, tout se met en place, le langage et l’action sont parfaitement alignés. Il est peut-être temps de commencer à prêter attention à la façon dont le langage génocidaire d'Israël se traduit par un véritable génocide sur le terrain. Malheureusement, pour des milliers de civils palestiniens, cette prise de conscience arrive tout simplement trop tard.
Le Dr Ramzy Baroud est journaliste, auteur et rédacteur en chef de The Palestine Chronicle. Il est l'auteur de six livres. Son dernier livre, co-édité avec Ilan Pappé, est Notre vision de la libération: Les dirigeants et intellectuels palestiniens engagés s’expriment. Ses autres livres incluent Mon père était un combattant de la liberté et La dernière terre. Baroud est chercheur principal non-résident au Centre pour l'Islam et les Affaires mondiales (CIGA). C'est son site de NDN Collective.
Cet article est de Common Dreams.
Les opinions exprimées sont uniquement celles de l'auteur et peuvent ou non refléter celles de Nouvelles du consortium.
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Le langage révèle clairement l’état d’esprit. Les politiques et actions sionistes sont justifiées à plusieurs reprises par référence à leur légende vieille de 3000 ans dans la Bible. Comme d’autres l’ont noté, ce qui est particulièrement pertinent aujourd’hui est :
« Dans les villes des nations que l'Éternel, votre Dieu, vous donne en héritage, vous ne laisserez en vie rien de ce qui respire. » – Deutéronome 20:16.
Cette ligne de conduite découle directement de la croyance énoncée dans le Talmud selon laquelle seuls les Juifs ont une âme humaine et tous les autres l'ont. au sens propre animaux. Ceci est expliqué par l’érudit juif israélien Israel Shahak dans son livre
Histoire juive, religion juive : le poids de trois mille ans
hxxps://ifamericaknew.org/cur_sit/shahak.html
Appliquer la logique à ces archaïques, barbares, non, les prémisses pré-civilisationnelles conduisent les sionistes à des pratiques tout aussi archaïques, barbares, non, conclusions pré-civilisées. Mais lorsque les gens grandissent imprégnés de telles croyances et nouent de forts attachements émotionnels à leur égard, il est pratiquement impossible d’avoir une discussion rationnelle avec eux. Leur cerveau ne traite tout simplement pas les informations qui entrent en conflit avec ces croyances profondément ancrées. Les faits et la logique les plus simples leur apparaîtront comme un charabia irrationnel. Ils deviennent alors extrêmement frustrés et en colère.
Une fois la discussion fermée, ils peuvent avoir besoin d’une intervention pour les empêcher de faire du mal aux autres et à eux-mêmes.
Le langage des wargasmes, des génocides et des pogroms au fil des âges pour les haines culturelles afin d'alimenter les motivations de profit de la guerre en utilisant les principes moraux et religieux du mal et des malfaiteurs.
Le système de racket de protection militaro-industrielle doit être désamorcé pour que la civilisation humaine puisse survivre. Au lieu de cela, nous semblons être enthousiasmés par l’excitation des explosions et des destructions utilisées par certains pour amasser des profits dans la reconstruction. Comment allons-nous reconstruire la civilisation humaine à ce stade, avec une capacité destructrice et un stress sur l'environnement de notre planète ? La planète choisie pour l'évolution humaine.
Je m'interroge simplement, en lisant ces lignes, sur ma naïveté et celle d'autres jeunes Américains au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, alors que nous nous demandions comment les Allemands avaient pu tolérer la montée du nazisme et l'holocauste.
Je suppose qu’il y a une sorte de force karmique dans l’ignorance : si l’on ne sait pas, si l’on ne peut pas ressentir, si l’on ne peut pas dire, on est libre de tomber sur la leçon en temps réel.
Les Conventions de Genève n’existent-elles plus ?
Arrêtez de bombarder les zones civiles densément peuplées, Israël. Vous tuez des milliers de Palestiniens innocents, dont des milliers d'enfants. L’armée de l’air israélienne et Tsahal emploient le langage des meurtriers de masse depuis des temps immémoriaux. Par exemple : « Boucliers humains ». Cela revient à dire que les Polonais ont utilisé des boucliers humains près de leurs bâtiments gouvernementaux lorsque la Luftwaffe a bombardé Varsovie en 1939. Le langage de ceux qui commettent le génocide ne doit jamais être « normalisé ».
Je veux aborder la menace d’une invasion terrestre israélienne pendant que j’y suis. Peut-être qu’outre le fait qu’Israël est, à juste titre, obsédé par la récupération de ses otages, les dirigeants militaires israéliens sont juste un peu inquiets à l’idée de combattre le Hamas dans les montagnes de décombres créées par les frappes aériennes barbares d’Israël : le « syndrome de Stalingrad », si l’on veut. volonté. Quoi qu’il en soit, à chaque sortie lancée par l’armée de l’air israélienne contre Gaza, la perspective de récupérer les otages vivants diminue. Hmmm…. malgré l’opposition indéfendable de Joe Biden à un cessez-le-feu, une pause dans la campagne de bombardements sauvages est désespérément nécessaire, pour le bien des Israéliens ET des Palestiniens.
La déclaration de Niki Haley selon laquelle « l'attaque du Hamas contre Israël est une attaque contre l'Amérique » dément le fait sous-jacent selon lequel l'AMÉRIQUE EST MAINTENANT LA PROPRIÉTÉ D'ISRAËL. Les sionistes sont ancrés dans l’ensemble de l’État profond américain et dans nos services de renseignement. Ils possèdent notre président et notre congrès. Dans le cadre de leurs fonctions judiciaires, ils ont adopté des lois dans presque tous les États pour interdire à un citoyen américain de boycotter Israël en guise de protestation personnelle contre sa politique d’apartheid « religieuse ».
Les sionistes ne sont pas simplement des citoyens à double nationalité. Quelle que soit la manière dont ils se déclarent citoyens américains, leur allégeance fondamentale est avant tout envers Israël… et ils n’ont absolument aucun respect pour notre Constitution. Les Américains qui soutiennent Israël doivent être conscients qu’Israël n’a pas de Constitution… ni de frontières territoriales déclarées. Sans déclaration écrite d'intention ni de frontières territoriales, Israël est libre de poursuivre son objectif secret et égoïste d'un « Grand Israël ». Leur grande ambition est d’exproprier des parties du Liban, de la Syrie, de la Jordanie et de l’Égypte.
Si notre Constitution commence par les mots : « Nous, le peuple »… par quels mots pensez-vous que la Constitution israélienne commencerait ?…. C'est pourquoi ils n'ont pas de Constitution écrite ! C'est pourquoi ils sont légalement libres de terroriser leurs voisins non juifs pour accomplir leur objectif secret…. pour une terre réservée aux « Juifs ». Amérique, s'il vous plaît, RÉVEILLEZ-VOUS… Aucun d'entre nous ne se souvient de sa propre histoire sordide de sectarisme, de discrimination et de pancartes indiquant « Blancs uniquement ». Nous sommes clairement du mauvais côté de l’histoire… encore une fois.
RÉVEILLEZ L'AMÉRIQUE ! Nous ne vivons pas dans un pays qui soutient Israël. L'AMÉRIQUE A ÉTÉ ANNEXÉE PAR ISRAËL ! Les sionistes sont devenus nos maîtres. Comment se fait-il qu’il n’y ait aucune résistance à l’aide suggérée à Israël de 14 milliards de dollars ? Évidemment, nous sommes devenus Israël… mais seulement tant que l’argent de nos impôts a une certaine valeur… et que nous pouvons toujours fournir des bombes, des roquettes et des avions de combat. Israël n'est pas l'allié de l'Amérique. Cela a été clairement indiqué le 8 juin 1967… recherchez-le. Nous ne sommes que l'outil d'Israël. Posez-vous la question : à qui a profité les attentats du 9 septembre ? Depuis, nous sommes en guerre contre les ennemis d’Israël… mais en quoi cela a-t-il profité à l’Amérique ?
Reprenons notre pays. Passons du bon côté de l’histoire. PLUS DE SOUTIEN À ISRAËL.
Vous l'avez exactement à l'envers. Les États-Unis possèdent Israël (son « porte-avions insubmersible ») depuis au moins 50 ans.
L’Ukraine a reçu bien plus de financements des États-Unis qu’Israël. Cela signifie-t-il que c'est vraiment l'Ukraine qui possède les États-Unis ? Ou cela signifie-t-il que l’Ukraine et Israël sont des États mercenaires dirigés par le même commandant ?
Les actions de toilettage des médias, toutes assez bien détenues par le même groupe, ont fait un grand nombre de dégâts dans le monde occidental avec les chrétiens évangéliques chantant le même livre de chants et de cantiques. Deviendrons-nous un jour vraiment humains et cesserons-nous de nous entre-tuer pour rien ? dogme idéologique, politique et religieux. La voix de la raison a été étouffée par le fanatisme de tous bords. Que Dieu nous aide tous.
En écoutant les discours très émouvants, et à juste titre, de l'envoyé de l'OLP auprès de l'ONU, Riyad Mansour, et de l'ambassadeur d'Israël à l'ONU, Gilad Erdan, je suis reparti avec un sentiment d'engourdissement face à la tragédie qui s'est déroulée à Gaza, ainsi qu'au choc subi par la communauté juive. communauté mondiale des récents crimes meurtriers du Hamas contre (de nombreux) civils.
Le discours de l'ambassadeur Erdan rend compréhensibles mais non justifiables les bombardements continus d'Israël. Elles pourraient être justifiables si elles pouvaient être considérées comme le seul moyen d’empêcher de nouvelles attaques meurtrières contre le peuple juif – qui a été victime de pogroms et de propagande haineuse pendant de nombreux siècles. Mais tuer des innocents n’est pas le moyen de combattre les forces sociales à l’origine de ces attaques. Cela renforce simplement ces forces sociales.
À ce stade, les États-Unis doivent sauver Israël d’eux-mêmes, en veillant à ce que l’eau, la nourriture et l’aide médicale parviennent immédiatement aux Gazaouis qui souffrent et mourants, tout en utilisant leurs vastes ressources pour aider Israël contre de nouvelles atrocités de la part de ses ennemis.
Aucune de ces atrocités prétendument commises par le Hamas n’a été prouvée. Ils se propagent pour susciter la colère et les appels à la vengeance. Si vous vous souciez de la justice, il vaudrait mieux ne pas prétendre que ces événements se sont produits.
hxxps://consortiumnews.com/2023/10/17/atrocity-propaganda/
hxxps://www.mintpressnews.com/propagande-blitz-how-mainstream-media-is-pushing-fake-palestine-stories/285992/
Il est défendable de dire que « certaines », voire « beaucoup » des atrocités prétendument commises par le Hamas n’ont pas été prouvées. Ce que vous dites : « Aucune de ces atrocités prétendument commises par le Hamas n’a été prouvée » est indéfendable.
Si Israël en impute la responsabilité à la population totale de Gaza. « ne se soulève pas contre le Hamas », alors le Hamas peut à juste titre accuser l'ensemble de la population d'Israël de ne pas se soulever contre la politique meurtrière du sionisme.
Les dirigeants israéliens malades et dégoûtants ne se contentent pas de commettre un génocide en temps réel contre des milliers de Palestiniens innocents. Ils attaquent tout ce qui est en vue afin d’inciter Téhéran à réagir.
Les sadiques sociopathes effrayants nous mettent tous au bord d’une catastrophe aux proportions épiques. Nous devons appeler un chat un chat : la configuration du pouvoir sioniste à Washington doit être dénoncée et contestée immédiatement !
"L'enfer est vide et tous les démons sont ici!" William Shakespeare
Le dernier des Mohicans ?
« Bien avant le 7 octobre, le discours sioniste-israélien était toujours celui du racisme, de la déshumanisation, de l’effacement et, parfois, du pur génocide. » BEAUCOUP bien avant ! Des milliers d'années auparavant. Le vrai sionisme est commandé (non suggéré) dans la Torah en Deutéronome 20 : 10-17.
« Quant aux villes de ces peuples que l'Éternel, votre Dieu, va vous donner en héritage, vous ne devez laisser subsister aucun être vivant. Au lieu de cela, vous devez les anéantir complètement : les Hittites, les Amoréens, les Cananéens, les Phéréziens, les Héviens et les Jébusiens » [les habitants de Jérusalem] (Deutéronome 20 : 16-17).
En ce qui me concerne, la Bible est une apologie sanglante du génocide. Pouvons-nous, s'il vous plaît, laisser de côté ces ordures désuètes ?
description effrayante de la psychopathie d’Israël en tant que nation (pas seulement de ses dirigeants actuels) – hxxps://www.unz.com/article/israels-biblical-psychopathy/
« Bien avant le 7 octobre, le discours sioniste-israélien était toujours celui du racisme, de la déshumanisation, de l’effacement et, parfois, du pur génocide. » BEAUCOUP bien avant ! Des milliers d'années auparavant. Le vrai sionisme est commandé (non suggéré) dans la Torah en Deutéronome 20 : 10-17.
« Quant aux villes de ces peuples que l'Éternel, votre Dieu, va vous donner en héritage, vous ne devez laisser subsister aucun être vivant. Au lieu de cela, vous devez les anéantir complètement : les Hittites, les Amoréens, les Cananéens, les Phéréziens, les Héviens et les Jébusiens » [les habitants de Jérusalem] (Deutéronome 20 : 16-17).
Veuillez regarder « Tu ne tueras pas… Qui ? à:
hxxps://youtu.be/7uOIimFxMac
Le 7 octobre n’est que la dernière d’une très longue série de manigances israéliennes sur lesquelles, honteusement, le monde occidental a continué à fermer les yeux. Cela a commencé AVANT même la fondation de cette nation.
Les États-Unis et leurs vassaux pathétiques sont tous d’accord avec le génocide palestinien. Où est la CPI ? Oh ouais. Arrêter les dirigeants africains qui obéissent aux ordres d’Africom. Plus jamais, ont-ils dit. Pourtant, cela continue encore et encore.