Ithaque, un film sur un père cherchant justice pour son fils, a été présenté en première au Festival du film de Sydney en Australie. Nouvelles du consortium était là lors de la soirée d'ouverture.
Après avoir Julian Assange a été arrêté à l'ambassade d'Équateur à Londres en 2019, son père, basé à Victoria, en Australie, est entré dans la mêlée juridique, politique et médiatique. Rejoint par la fiancée de Julian, Stella Morris, âgé de 76 ans Jean Shipton expose la situation aux journalistes, ressemblant souvent étrangement à son fils détenu. Début 2021, le verdict du Royaume-Uni sur l’opportunité d’extrader Julian vers l’Amérique s’est heurté à une pandémie et à l’élection présidentielle américaine. Alors que la croisade s'intensifie, Shipton continue de se battre, remettant en question les idées fausses avec une patience tranquille et un sang-froid remarquable. Tourné sur deux ans à travers l'Europe et le Royaume-Uni, ce puissant documentaire de Ben Laurent (Coeurs et os, SFF 2019) et frère/producteur de Julian Gabriel Shipton (Coureur d'émeu, SFF 2019) englobe intelligemment les multiples aspects d’une campagne singulière. Avec une musique originale de Brian Eno. - Festival du film de Sydney.
Voici Actualités du Consortium reportage extérieur au cinéma lors de la soirée d'ouverture, filmé et réalisé par Cathy Vogan (entretien avec Bob Carr by Shahnaz Martin, matériel supplémentaire de Des gens pour Assange):
Libérez Julian Assange maintenant !
« Sans presse libre, il ne peut y avoir de démocratie »
Thomas Jefferson
Naïveté dans les commentaires ?
Une incroyable crédulité parmi les groupes de population.
Intelligence et crédulité, toutes deux seulement des potentiels latents sur la palette psychique humaine.
Le gouvernement chinois ne devrait pas cacher de secrets à ses citoyens, mais il est tout à fait normal que les États-Unis fassent exactement cela, avec un mépris totalitaire, pour Julian Assange !
De la BBC : « Les États-Unis exhortent la Chine (en l’occurrence Ned Price, le porte-parole officiel et ignorant du gouvernement) à libérer un journaliste citoyen (chinois) emprisonné… En mai, elle (l’accusée) a été reconnue coupable d’avoir « suscité des querelles et provoqué des troubles ». » – une accusation couramment portée contre les militants et les lanceurs d'alerte, considérés comme sapant les efforts du gouvernement pour contrôler l'information dans le pays… Elle a été condamnée à une peine de quatre ans de prison pour avoir couvert l'épidémie de COVID-19 à Wuhan au début de la pandémie. … Cette décision des États-Unis fait suite à des informations selon lesquelles elle serait dangereusement proche de la mort.»
Cependant, lorsqu’il s’agit de rendre compte du fléau de la tromperie qui frappe l’éditeur/journaliste Julian Assange, le hurlement déchirant du silence – qui résonne dans les oreilles sourdes des diffuseurs restreints (définis par un intérêt particulier) du Brazen Coward britannique, n’est pas De quoi briser et pénétrer les consciences « lapidées » des occupants des serres du privilège impérial !
L’exemple susmentionné, mais unique, de l’hypocrisie flagrante et des deux poids, deux mesures, dans ce cas particulier, de la manipulation du récit mondial par les grands médias occidentaux ; du pot qualifiant la bouilloire de noire !