Hanimé par Canberra Action 4 Assange et diffusé en direct exclusivement par Nouvelles du consortium, cinq éminents Australiens présidés par le professeur Stuart Rees ont discuté de la procédure d'extradition contre le journaliste Julian Assange et de son importance pour l'avenir de la liberté d'expression, de la presse libre et de la démocratie.
CHAIRE: Professeur émérite Stuart Rees AM est un universitaire australien, militant des droits de l'homme et auteur, fondateur de la Sydney Peace Foundation et professeur émérite au Centre d'études sur la paix et les conflits de l'Université de Sydney en Australie.
Scott Ludlum: ancien sénateur australien qui a été chef adjoint du Parti vert australien.
Greg Barns SC : avocat au cabinet de Hobart, Melbourne et Brisbane.
David McBride: ancien avocat des forces de défense australiennes et lanceur d'alerte de premier plan dans l'affaire Afghan Files.
Christine Milné: ancien homme politique australien qui a été sénateur de Tasmanie. Elle a dirigé les Verts australiens de 2012 à 2015.
Assisté par : Melbourne 4 Wikileaks, Support Assange & Wikileaks Coalition (@SAWCSydney), People 4 Assange Sydney, Northern Rivers NSW 4 Assange, Julian Assange Supporters International et des groupes de soutien dans toute l'Australie et à l'étranger.
Merci à : Cathy Vogan pour la conception de l'invitation, Juan Luis Passarelli pour les enregistrements de Londres, Jacob Grech de A Rave du vendredi, et 3CR Melbourne Phillip Adams pour l'un des plus grands pétitions dans l'histoire de l'Australie.
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Nous ne devrions pas poursuivre ceux qui révèlent des crimes d'État, nous devrions poursuivre ceux qui ont perpétré ces crimes.
Le bureau de Marise Paynes a déclaré qu'en fin de compte, cette question relevait des tribunaux britanniques. Ils disent qu’ils n’interviendront PAS simplement parce que le Royaume-Uni et les États-Unis sont une démocratie fiable et que nous (le gouvernement australien) leur faisons aveuglément confiance. Comment faire face à cette démonstration que ce n’est pas le cas ? Que l’État de droit ne suit PAS le cas d’Assange ?
Comment les militants réagissent-ils à l’affirmation selon laquelle Assange aurait mis des vies en danger ?
Ce n’était pas l’idée d’Assange de publier les fuites non expurgées, c’était une décision des journaux auxquels il les avait transmises.
Combien de vies a-t-il sauvées en montrant au gouvernement américain que leurs crimes ne passeraient pas inaperçus ?