Mois: décembre 2017

Au cas où vous auriez manqué…

Certains de nos articles spéciaux de novembre traitaient des manquements logiques et probants de l’enquête sur le Russiagate et du bombardement de la Syrie par le président Trump à la suite d’une attaque douteuse à l’arme chimique. 

Remettre en question le « motif » du Russiagate

Un pilier clé de l'affaire du Russia-gate est l'hypothèse selon laquelle les dirigeants russes voulaient arrêter Hillary Clinton et renforcer Donald Trump, mais les opinions du Kremlin sur les élections de l'année dernière étaient beaucoup plus nuancées, écrit Gilbert Doctorow.

Un rapport à nos lecteurs

Du rédacteur en chef Robert Parry : Depuis que nous avons lancé Consortiumnews en 1995, à l'aube de l'Internet moderne, la menace qui pèse sur un journalisme indépendant sérieux n'a jamais été aussi grande qu'aujourd'hui. Quoi que l’on pense de l’imbroglio du Russiagate, qu’est-ce que…

Protéger le récit fragile du Russiagate

Exclusif : Le New York Times poursuit sa triste habitude de falsifier les informations sur le Russia-gate, donnant à ses lecteurs des informations dont le journal sait qu'elles ne sont pas vraies, rapporte Robert Parry.

Le vide effrayant à l’intérieur du Russia-gate

Malgré le manque de preuves fondamentales – et le risque d’une conflagration nucléaire comme sous-produit – le Russia-gate reste l’accusation privilégiée pour « avoir » l’administration Trump, explique le spécialiste de la Russie Stephen F. Cohen.

Dépenser de l’argent au Pentagone

Exclusif : On dirait que c'est toujours Noël au Pentagone, où les bas sont pleins et où les coupes budgétaires sont réservées aux gars des programmes sociaux nationaux, comme l'explique Jonathan Marshall.

Quels sont les enjeux des élections honduriennes

Les protestations se poursuivent à propos de l'élection présidentielle controversée au Honduras après qu'une solide avance d'un progressiste ait été anéantie au milieu d'irrégularités flagrantes et que le président sortant de droite ait été déclaré vainqueur, rapporte Rick Sterling.

La mission clandestine de Trump en Syrie

Alors même que le « califat » de l’État islamique en Syrie s’effondre, le gouvernement américain maintient environ 2,000 XNUMX soldats dans le pays, bien qu’il n’ait aucun droit légal d’y être, comme l’explique l’ancien analyste de la CIA Paul R. Pillar.