Mois: 2016 juin

Détruire le mythe de Magnitski

Un nouveau documentaire détruit le récit occidental dénigrant la Russie sur la mort de Sergueï Magnitski en 2009, la réponse a donc été d'empêcher le public de voir le film tout en le qualifiant d'« agit-prop » russe, comme l'explique Gilbert Doctorow.

Le massacre d'Orlando comme crime de haine anti-gay

Le massacre d’Orlando était avant tout un crime de haine contre les homosexuels, favorisé par des lois laxistes sur les armes à feu, plutôt qu’une attaque terroriste perpétrée par un acolyte de l’Etat islamique – et donc l’analyse médiatique et politique est loin du compte, écrit Lawrence Davidson.

Trump, le « candidat pour une paix relative »

Hillary Clinton n’a montré aucun réel remords quant à son soutien aux « changements de régime » néoconservateurs, aux guerres d’agression et à la belligérance envers la Russie, laissant le souvent odieux Donald Trump comme candidat relatif à la paix, dit John V. Walsh.

Mystère d'un prisonnier Gitmo peu connu

Le président Obama s'est engagé à fermer la prison de Guantanamo Bay, à Cuba, mais a lutté contre la résistance du Congrès et contre un processus de révision lent, illustré par l'étrange cas de Haroon al-Afghani, rapporte Dennis J Bernstein.

Comment Roy Cohn a aidé Rupert Murdoch

Extrait des archives : Le Washington Post sur les liens de Donald Trump avec le célèbre maccarthyste Roy Cohn mentionnait les liens de Cohn avec Ronald Reagan et Rupert Murdoch, mais il y a bien plus à cela, a rapporté Robert Parry en 2015.

Le général Breedlove, faucon de guerre Folamour-ian

L'ancien commandant de l'OTAN Breedlove était si belliqueux envers la Russie que les Allemands se sont opposés à ses dangereuses provocations, mais il se pavane désormais dans l'espoir de décrocher un emploi dans une administration Clinton-45, explique Gilbert Doctorow.

Qui est le plus grand danger : Clinton ou Trump ?

Donald Trump a proposé des idées troublantes sur la politique étrangère, notamment une attitude cavalière à l'égard de la prolifération nucléaire, mais le caractère belliciste d'Hillary Clinton pourrait représenter un plus grand danger de guerre nucléaire, comme l'explique Ivan Eland.