Le pape François a reçu de nombreux éloges pour avoir éclairé la condamnation catholique du divorce, mais une lecture plus attentive de son texte montre qu'il renforce les positions répressives de l'Église sur le comportement sexuel humain, écrit Daniel C. Maguire.
Par Daniel C. Maguire
Cela me gêne de m'en souvenir. En 1960, alors que j'étais jeune prêtre dès ma première année dans une paroisse, j'ai pris sur moi de donner une retraite de deux jours aux personnes mariées de la paroisse, pour leur expliquer comment vivre leur vie conjugale.
L'événement doit être déposé sous A, pour arrogance ou I pour méconnaissance. Je suis heureux que les discussions n’aient pas été conservées sur YouTube, car beaucoup de choses que j’ai dites étaient horribles. En condamnant la contraception, j’ai cité ce qui était un incontournable de l’époque : « Une lettre d’un fils à naître ».
Ce fut une épopée de chantage émotionnel. Il disait : « Je sais que vous ne m'aviez pas pour que vous puissiez acheter cette nouvelle voiture ou ce nouveau réfrigérateur, mais cette voiture et ce réfrigérateur ne se précipiteront jamais et ne mettront jamais leurs petits bras autour de vous comme je l'aurais fait si vous ne l'aviez pas utilisé. contraceptifs. »
Le pape François devrait lui aussi être embarrassé par les lacunes importantes de son Exhortation. La joie de l'amour. Un défaut fatal du texte est que François chante dans un chœur exclusivement masculin et que c'est dans cette compagnie qu'il se lance dans le conseil matrimonial, un domaine dans lequel ni lui ni eux n'ont une expertise privilégiée.
Des laïcs ont été consultés lors de la préparation de cette Exhortation mais leurs voix sont absentes du texte ou filtrées par le chœur d'hommes. Pire encore, la théologie de François est confuse et peu représentative du meilleur de la pensée catholique actuelle. Pour être juste, François admet d’emblée que ce qu’il dit ne prétend pas à l’infaillibilité, un aveu sain puisque certaines de ses erreurs sont farfelues.
La joie de l'amour est le produit d'un comité; les rapports des comités ne sont jamais éloquents et rarement cohérents. Celui-ci émane d’années de réunions synodales conflictuelles. Il regorge de compromis et de contradictions. Il a été salué comme un retrait de l’enseignement de l’Église centré sur les règles. Mais il n’en est rien. Les anciennes règles flottent sur ses pages comme un éminence grise.
Pour rendre à César ce qui mérite à César, l’Évangile selon François, dans cet écrit et dans ses autres écrits, redéfinit les « valeurs pro-vie » et les « valeurs familiales », les principes de l’extrême droite, dont le respect pour la vie semble être coupé à la naissance.
Être pro-vie (à la manière de François) signifie travailler et voter pour un salaire décent pour tous, avoir une option préférentielle pour les pauvres, dont la moitié sont des enfants, rejeter fermement la peine de mort et les obsessions militaristes, accueillir les immigrants et les réfugiés, lutter contre l'écocide et soutenir les syndicats. Les familles devraient être des jardins où toutes ces valeurs s’épanouissent et se développent.
François reconnaît également que le monde ne peut pas résister à une croissance démographique illimitée ; il existe d’autres moyens respectueux de l’environnement d’être fructueux. Il admet même que les catholiques peuvent apprendre beaucoup du clergé marié d’autres religions. (De toute évidence, leur comportement sexuel fait moins la une des journaux sordides.)
Mais maintenant aux échecs
François fait brièvement référence au droit de conscience dans la tradition catholique. Malheureusement, il n'applique pas cela correctement à certaines questions majeures La joie de l'amour: mariage homosexuel, remariage après divorce, mort par pitié, contraception et avortement. Sur ces questions, il est soumis à des règles et rigide, même si tout cela est formulé en appels à la miséricorde.
Francis s'extasie sur la beauté et l'enrichissement personnel offerts par le mariage et l'amour sexuel dans le mariage. Le mariage est l’amour humain « idéal ». L’amour conjugal est l’amour à son meilleur, supérieur à l’amour « de l’amitié, du dévouement filial ou du dévouement à une cause ». Et la raison se trouve précisément dans sa totalité.»
« Le refus de prendre un tel engagement est égoïste, calculateur et mesquin. » Tout cela est vrai, dit François, même pour les mariages sans enfants.
Et maintenant le hic ! Cette magnifique expérience est réservée par Dieu et la hiérarchie catholique aux seuls hétérosexuels. C'est hors de portée des gays qui s'aiment. Le document aurait dû s'appeler La joie de l'amour hétérosexuel.
Est-ce que toutes les personnes LGBT sont trop « égoïstes, calculatrices et mesquines ? » Sont-ils si déficients en humanité qu’ils sont incapables de réaliser cet amour humain ? Le Pape suggère-t-il d’une manière nouvelle et méchante que toutes ces personnes sont « queer » et « déviantes ». Est-ce pour cela que les hétérosexuels ont sept sacrements alors que les gays n’en ont que six puisque le mariage est hors de leur portée ? C’est théologiquement étrange. Voyons-nous ici les vieux préjugés brutaux enveloppés dans le langage de l’amour, de la sollicitude pastorale et de la pitié ?
Le mariage par définition est la forme primordiale d’amitié engagée entre personnes attirées sexuellement. Il n’y a rien de spécifique à l’hétérosexualité dans cette définition.
François cite les Écritures chrétiennes selon lesquelles « tout ce qui est créé par Dieu est bon et rien ne doit être rejeté ». (1 Tim. 4:4.) Cela ne s’applique-t-il pas à ceux que Dieu a rendus homosexuels ?
Le pape a tort ici. Et il est cruel. Il insulte les êtres humains LGBT qui souffrent suffisamment dans un monde hétérosexiste. Il affirme, malgré des preuves bien documentées, que les enfants ne peuvent pas être bien élevés par un couple de même sexe — il doit y avoir un père et une mère — et il insulte donc les enfants dont les parents sont de même sexe et rabaisse les familles dans lesquelles ils prospèrent.
Plus pénibles encore sont les commentaires flatteurs et non critiques sur ce document de la part des théologiens et des évêques. S’ils voient Pierre comme le premier pape, ne pourraient-ils pas rejoindre Paul qui dit de Pierre : « Je lui ai opposé en face, parce qu’il avait clairement tort. » C'est ce qu'on appelle de la prophétie, pas de la déloyauté.
Pourquoi ne pas vous en tenir à la question « Qui suis-je pour juger ? ».
La noble hésitation de François à juger autrefois exprimée sur l'homosexualité l'a abandonné dans ce document. Inexplicablement, Francis déterre Humanae Vitae, une encyclique mal conçue qui a grandement contribué à vider les bancs et à fermer les portes des églises. Les théologiens et les sensus fidélium(la sagesse nourrie par l'expérience des laïcs et l'une des sources de vérité de la théologie catholique) ont rejeté cette condamnation désastreuse des contraceptifs par le pape Paul VI.
Pourquoi François répéterait-il cela à nouveau dans un monde où la surpopulation affecte toutes les crises de la planète !
De même, sur l'avortement, François cède aux conservateurs et le déclare mauvais dans tous les cas. Ainsi, d’un seul coup, il condamne, sans qu’on le voie, les millions de femmes qui choisissent d’interrompre des grossesses à problèmes, souvent provoquées par le manque de disponibilité des contraceptifs. Dans ce jugement sévère, ces femmes sont soit moralement coupables, soit excusées par l’ignorance de ce qu’elles font. Il n’y a pas d’alternative douce à ce jugement arrogant et sans nuance.
François tente d'atténuer un peu la condamnation de ceux qui se remarient après un divorce. Ils ne sont pas excommuniés ; ils ne sont peut-être pas en état de péché mortel. Pourtant, ils vivent dans une union « irrégulière ». (Encore une fois, la règle ; réglementer est le latin pour règle.)
Leur situation est liée aux symboles peu flatteurs des « brebis perdues », celles qui se sont égarées, qui ont fait preuve de faiblesse humaine et qui ont besoin de miséricorde en tant que candidats à l’admission dans l’Église considérée comme « un hôpital de campagne ». Ils ne sont pas absous du « péché objectif ».
Subjectivement, leur faiblesse ou leur incompréhension pourraient les absoudre de toute culpabilité subjective, mais ils restent « irréguliers ». En dire plus aurait « changé l’enseignement de l’Église » et aurait rendu de nombreux pères synodaux plongés dans la folie. La porte pastorale leur est ouverte pour aller à la communion eucharistique mais seulement dans la mesure où ils en ont plus besoin que les habitués.
Il n’y a aucune appréciation ici du fait que la décision de divorcer pourrait être un acte d’intégrité et de courage ou que rester dans une union toxique pourrait être une mauvaise décision. Dans la ferveur érotique, des erreurs peuvent être commises. L’immaturité obscurcit le jugement. Il n’y a rien de faible ou d’irrégulier dans le fait de corriger les erreurs lorsque tout le reste échoue.
La solution catholique à portée de main
Le catholicisme a une théorie de la conscience splendide, mais bien cachée. François y fait allusion à plusieurs reprises mais ne s'en sert pas pour saborder les tabous insensibles. Il cite certains enseignements de Thomas d'Aquin sur les règles, dans lesquels Thomas dit que les principes moraux pratiques sont bons. en pluribus, c'est généralement, mais dans certaines circonstances, qu'un bon principe ne peut pas répondre aux besoins de valeur de la situation.
Par exemple, dire la vérité est un bon principe, mais pas lorsque la Gestapo vous demande si vous savez où se cache la famille Frank et que vous le savez. Il vaut donc mieux dire faussement que dire la vérité, ce qui serait mortel. Ainsi, le principe selon lequel le mariage est un engagement à vie est un bon principe, mais dans certaines circonstances, il serait erroné d’insister sur ce point.
Encore une fois, Thomas d'Aquin : « Les actions humaines sont morales ou immorales selon leurs circonstances. » Dans certaines circonstances, le divorce est un choix moral, mais pas facile.
Un deuxième trésor catholique est appelé Probabilisme, une théorie développée en grande partie par les Dominicains et par l'ordre jésuite de François. C’est une théorie qui libère la conscience du poids d’un autoritarisme excessif. Il dit que dans les questions morales débattues (comme toutes celles dont nous discutons), lorsqu'il y a de bonnes raisons avec de bonnes autorités des deux côtés du débat, vous êtes libre de décider et le point de vue le plus rigoureux ne doit pas vous être imposé. Il s’agit d’un système de pluralisme moral catholique fondé sur la perspicacité et non sur la permission.
Il y a une trentaine d’années, j’ai parlé à un groupe Dignité composé d’homosexuels catholiques. J'ai expliqué le probabilisme en lisant de vieux livres de théologie morale catholique et je l'ai appliqué aux unions homosexuelles. À la lumière de cela, j’ai dit : « vos amours ne sont pas seulement bons, ils sont saints et pleins de grâce ».
Plusieurs d'entre eux étaient en larmes. Ils aimaient l’Église et ne voulaient pas que leur amour profond pour un autre les en sépare. J'en ai également parlé lors d'une conférence au Trinity College de Dublin à la même époque et je l'ai appliqué à la contraception et au remariage après un divorce.
Je me demandais comment cela se passait avec mes 400 auditeurs irlandais. La première question, posée par une femme d’âge moyen, m’a donné la réponse. Elle a demandé : « Pourquoi, au saint nom de Dieu, ne nous a-t-on pas dit cela ! » Pourquoi en effet ?
Je l’enseigne dans chaque classe que j’enseigne à Marquette et les étudiants disent souvent : « Je suppose que je pourrais rester catholique. Je ne pensais pas qu’il y avait un tel respect pour ma conscience. »
Le pape François déclare : « la conscience individuelle doit être mieux intégrée dans la pratique de l'Église ». Il a raison. Et les outils sont là pour le faire.
Daniel C. Maguire est professeur de théologie morale à l'Université Marquette, une institution catholique jésuite de Milwaukee, Wisconsin. Il est l'auteur de Un credo moral pour tous les chrétiens et Les horreurs que nous bénissons : repenser l'héritage de la guerre juste [Fortress Press]). Il peut être joint à [email protected]
« La joie de l'amour » est une exhortation du pape à son propre clergé. Les gens connaissent déjà la joie de l’amour. Ils n’ont pas besoin d’un pape pour leur enseigner. Toutes les questions morales soulignées dans l’exhortation ont déjà été réglées par le peuple.
Il appartient désormais à l’institution de retrouver cette joie déjà exprimée par le « sensus fidelium » et d’opérer les changements nécessaires pour faire entrer l’institution dans le 21e siècle. Une monarchie médiévale est une structure totalement dépassée.
Il suffit de regarder le volume de paroles générées par l’exhortation pour mesurer son succès. AL est un peu verbeux, mais cela sert un autre objectif. Cet objectif est un mot : dialogue. Il suffit de regarder ou mieux encore de lire le nombre d'articles et les commentaires qui en résultent qu'AL a générés sur de nombreux sites de blogs et sur Internet en général.
Sans dialogue, il n’y aura pas de changement ; François a entamé le dialogue. Il n’y a pas de retour en arrière une fois la porte ouverte ; le peuple a parlé. L’Église institutionnelle écoute-t-elle ? Ils ne sont pas habitués à dialoguer avec le peuple.
Il ne s’agit pas ici des doctrines de l’institution, mais de l’autorité enseignante de l’institution. L’institution est-elle prête à enseigner la « bonne nouvelle » dans une société postmoderne ? Une société centrée sur la famille comme objectif principal et non sur des doctrines dépassées.
Lévitique 20 :13 dit : « Et si un homme couche avec un homme comme avec une femme, tous deux ont commis une abomination : ils seront certainement mis à mort ; leur sang retombera sur eux.
Cela signifie exactement ce qu'il est écrit, littéralement, que les personnes qui commettent ce que nous appelons des actes homosexuels seront mises à mort. Les responsables de l’Église peuvent faire tout ce qu’ils veulent pour changer la façon dont les gens perçoivent l’homosexualité, mais c’est ce que dit la Bible à ce sujet. La Bible dit toutes sortes de choses qui sont immorales et illégales dans les sociétés modernes, c'est pourquoi les théologiens choisissent de sélectionner la Bible et de nous dire uniquement ce qu'ils veulent que nous pensions qu'elle dit. La plupart des gens, y compris ceux qui vont fidèlement à l’église, n’ont jamais lu eux-mêmes la Bible.
Le Concile de Jérusalem a décidé que les chrétiens non juifs n'étaient pas liés par la loi.
Manger de la chaudrée de palourdes ici. (Ce n’est pas une abomination pour mon irlandais.)
Juste pour information, Jacob-
« l'homme couché avec l'homme » est une vision maternelle de l'excès.
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LA POMME DE NUIT
PAR ALLEN GINSBERG
vers 1961 ?
La nuit dernière, j'ai rêvé
de celui que j'ai aimé
pendant sept longues années,
mais je n'ai vu aucun visage,
seulement le familier
présence du corps :
yeux en sueur
selles urine sperme
salive tout un
odeur et goût mortel.
"Juste pour mémoire, Jacob-
"l'homme couché avec l'homme" est une vision maternelle de l'excès.
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— Ou le rêve d'accès d'un prêtre.
M. Maguire est un homme meilleur que moi pour avoir parcouru les 264 pages de ce truc « Joy of Love ». Pour ce que ça vaut, voici un lien :
http://w2.vatican.va/content/dam/francesco/pdf/apost_exhortations/documents/papa-francesco_esortazione-ap_20160319_amoris-laetitia_en.pdf
Grâce à la fonction de recherche de mots de ma visionneuse PDF, j'ai trouvé ce que je cherchais.
Vraisemblablement, « l’intervention forcée de l’État » signifie que « l’État » a des lois permettant aux individus d’être libres d’interférer avec les grandes personnalités religieuses – les évêques, les cardinaux et les papes. Jusqu’à récemment, ces types étaient parvenus à interdire la vente, et même la discussion, sur la contraception. Ces grandes perruques et leurs petites marionnettes protestantes travaillent très dur pour mettre fin à l’avortement, et vous pouvez parier que mettre fin à l’accès à la contraception est leur prochain objectif. Le Pape est la voix de Dieu sur terre, et cela doit donc être la bonne chose à faire, car Dieu veut évidemment que nous vivions dans un enfer surpeuplé comme l'était devenue l'Irlande catholique de 1847.
Pour reprendre les mots de l’auteur, cette doctrine est fausse et cruelle.
Contraception et avortement
sont comme la différence entre
plusieurs années de prison
contre une civière avec injection mortelle.
Peux-tu le voir???
Éducation religieuse
Contrecarre la raison critique ;
Facilite les apologistes
masturbation.
« En tant que descendant antisioniste de juifs » – Dosamuno
Votre haine du Christ et votre promotion de la lascivité – ainsi que le manque de civilité dans vos commentaires sont une image du cœur sombre qui sommeille en vous – mais vous êtes le produit du parti pris juif profondément libéral qui informe et persuade les opinions culturelles modernes.
::
« Les Juifs d’Amérique ont été des révolutionnaires sexuels. Une grande partie des documents sur la libération sexuelle ont été rédigés par des Juifs. Ceux qui étaient à l’avant-garde du mouvement qui a forcé l’Amérique à adopter une vision plus libérale du sexe étaient juifs. Les Juifs étaient également à l’avant-garde de la révolution sexuelle des années 1960. Wilhelm Reich, Herbert Marcuse et Paul Goodman ont remplacé Marx, Trotsky et Lénine comme lectures révolutionnaires requises. Les préoccupations centrales de Reich étaient le travail, l'amour et le sexe, tandis que Marcuse prophétisait qu'une utopie socialiste libérerait les individus pour qu'ils puissent atteindre la satisfaction sexuelle. Goodman a parlé des « belles conséquences culturelles » qui découleraient de la légalisation de la pornographie : cela « ennoblirait tout notre art » et « humaniserait la sexualité ». »
—Nathan Abrams, trimestriel juif.
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« De nombreux premiers partisans considéraient la psychanalyse comme un mouvement messianique rédempteur qui mettrait fin à l’antisémitisme en libérant le monde des névroses produites par la civilisation occidentale sexuellement répressive. On pensait donc que le remède à l’agression caractéristique de l’antisémitisme résidait dans la libération des gentils de leurs répressions sexuelles. Bien que Freud lui-même ait finalement développé l’idée d’une pulsion de mort pour expliquer l’agressivité, un thème constant de la critique freudienne de la culture occidentale – illustrée par exemple par Norman O. Brown, Herbert Marcuse et Wilhelm Reich – a été que la libération de répressions sexuelles conduirait à une diminution de l’agressivité et inaugurerait une ère d’amour universel. »
—Kevin MacDonald, La culture de la critique.
« Vous êtes le produit du parti pris juif profondément libéral qui éclaire et persuade les opinions culturelles modernes. »
En fait, ma famille était mixte et plutôt laïque. J'ai fréquenté une université chrétienne d'arts libéraux et étudié la Bible.
Mais ne pinaillons pas. Il n’y a rien de mal à avoir des préjugés : tout le monde en a un.
Regardons le vôtre :
Pour accepter la mythologie chrétienne, il faut croire qu'il existait autrefois un jardin idyllique où les deux premiers spécimens de l'humanité vivaient sous la tyrannie d'un dieu mâle nommé Jéhovah. Jéhovah a fabriqué l'homme à partir de la poussière, mais il a créé la femme à partir d'une côte de l'homme.
La femme fut convaincue par un serpent parlant de défier la volonté de ce dieu en partageant une pomme magique avec le mâle. Après avoir mangé la pomme, qui peut être une métaphore de la fornication ou de l'acquisition de connaissances interdites, les deux humains ont été expulsés du jardin.
L’humanité entière a été souillée par ce « péché » – un crime dont la victime est Dieu, et a dû supporter ce stigmate jusqu’à ce que Dieu décide de lui pardonner.
Bien que Dieu soit omniscient et omnipotent, il ne pouvait néanmoins pas trouver comment pardonner à l’humanité sans inséminer artificiellement une vierge avec un tube à essai de sperme divin transporté sur terre par quelque chose appelé « le Saint-Esprit » ; la vierge enfanta un enfant mâle ; l'enfant mâle a grandi et a pratiqué la magie comme marcher sur l'eau et ressusciter les morts jusqu'à ce qu'à l'âge de 33 ans, il soit cloué sur une croix, où il s'est suspendu jusqu'à sa mort.
Trois jours après sa mort, son cadavre s'est relevé et est sorti de la crypte comme les zombies d'un film de George Romero.
Dieu en était si heureux qu'il nous a tous pardonné tant que nous aimions son fils Zombie.
« Les Juifs d’Amérique ont été des révolutionnaires sexuels »
Au diable les salauds ! Je suppose qu'ils pensent que les gens qui se branlent ne devraient pas devenir aveugles, que les femmes devraient être responsables de leur propre corps et que le sexe est acceptable sans la permission du prêtre.
« De nombreux premiers partisans considéraient la psychanalyse comme un mouvement messianique rédempteur qui mettrait fin à l’antisémitisme en libérant le monde des névroses produites par la civilisation occidentale sexuellement répressive. »
Eugenio Pacelli et ses amis nazis avaient une approche plus pratique pour mettre fin à la haine des Juifs : l’antisémitisme est un mot à la con, tout comme l’Église catholique qui a confiné les Juifs dans des ghettos pendant près de 2,000 XNUMX ans.
Vous êtes un zombie, J'hon Doe II : un zombie chrétien ayant subi un lavage de cerveau. Ils vous ont attrapé avant que vous ayez développé une raison critique et rien de ce que je dis ne vous libérera.
Je vous laisse donc le dernier mot. Je n'essaierai plus de discuter avec vous.
Je vous laisse avec la définition de la religion d'Ambrose Bierce :
—Une fille de l'Espoir et de la Peur, expliquant à l'Ignorance la nature de l'Inconnaissable.
Contraception et avortement
sont comme la différence entre
plusieurs années de prison
contre une civière avec injection mortelle.
Peux-tu le voir???
https://firstlightforum.files.wordpress.com/2011/04/abortion.jpg
https://firstlightforum.files.wordpress.com/2011/04/abortion2ndtrimester2.jpg
« Charles Darwin a annulé le christianisme il y a 150 ans… le fait de l'évolution démantèle complètement l'histoire du jardin d'Eden et efface la raison d'être de Jésus, sa fausse mort comme notre salut apparent du « péché originel ». Et ainsi les fondements mêmes du christianisme sont catégoriquement et absolument démolis. »
(Michael B. Paulkovitch)
Il est amusant de voir le christianisme continuer à trébucher comme un poulet à la tête coupée malgré une évolution supplantant le conte de fées du Jardin d'Eden.
Pas d'Eden = Pas d'Ève = Pas de péché originel = Pas besoin de Jésus.
Et c'est à la fois amusant et triste que CONSORTIUM gaspille de l'espace à recouvrir ce saltimbanque.
Le Pape est un charlatan même s'il compte trois milliards de followers : si Jim Jones n'avait pas opté pour la version Kool Aid de The Rapture, il aurait peut-être rattrapé la Putain de Rome et aurait trois milliards d'idiots qui l'adoraient.
S'il vous plaît, arrêtez avec les articles sur le Pape.
Vous ne proposez pas d'articles sur le prophète pédophile, sur Yahweh ou sur les divinités plus intéressantes inventées par Ovide dans METOMORPHOSE.
Assez avec ce foutu pape.
« Charles Darwin a annulé le christianisme il y a 150 ans… »
annuler = inexistant, abroger, détruire——–
De toute évidence, aucune religion majeure n’a été détruite, Dosamuno ————
l'existence fondamentale du Bien et du Mal, de la Lumière et des Ténèbres n'a pas non plus
« Le cœur de l’homme est trompeur par-dessus tout et désespérément méchant – qui peut le savoir ? »
J'ai entendu Thom Hartmann hier parler des méfaits du sacrifice humain. Dans tout son résumé de l’histoire de notre monde, il n’a jamais mentionné l’avortement. —
— Ne pas considérer l’avortement comme un sacrifice humain est une illustration de la tromperie. Ainsi, malgré tout son libéralisme de bon cœur – les appels à la justice et à l’égalité – tout cela –, les bébés nés et annulés dans l’utérus constituent le vol d’une vie. La loi créée par l'homme peut la proclamer « légale », mais la loi de la nature crie à l'aberration ! anomalie ! violation!!! (le cœur de l'homme est trompeur)
Le (soi-disant) intellect de votre esprit, Dosamuno, reflète le cœur des ténèbres en vous. Le Dieu que vous niez est là, frappant doucement à la porte de votre cœur et se déclarant à travers la créativité et la durabilité de la nature. La science n'a pas créé la nature que nous voyons – la multitude de fleurs chaque printemps – les graines pour la nourriture qui poussent en elles-mêmes (ce que Monsanto veut usurper pour le profit). Les scientifiques étudient uniquement le phénomène, collectent des données, étudient les enzymes et les organismes vivants, trouvent des remèdes et des suppléments, etc. dans la nature.
Les cœurs trompeurs cherchent à supplanter Dieu. Ils s'élèvent par ignorance au-dessus de Dieu même s'ils n'ont rien à voir avec une création de plantes, d'arbres, de fleurs, d'oiseaux, d'animaux, de météo, de nuages, de pluie, de saisons, de soleil/lune et d'étoiles —
Quelle tromperie arrogante ! Quelle ignorance subliminale !!! (le cœur de l'homme est trompeur)
« Darwin a annulé le christianisme » – bien qu'il existe encore aujourd'hui !!! ?
Darwin a annulé Dieu – n'est-ce pas vraiment ce que vous vouliez dire, Dosamuno ?
L’insensé a dit dans son cœur « Dieu n’existe pas » — (le cœur de l’homme est trompeur et désespérément méchant)
"La nature a horreur des crétins."
HL Mencken
Scientifiques érudits
qui étudie la nature
Je ne peux pas être des idiots, Dosamuno.
http://popular-archaeology.com/issue/spring-2016/article/more-on-widespread-literacy-in-judah-in-600-bce
"Je ne savais pas que les chats pouvaient sourire."
"Ils le peuvent tous et la plupart le font."
Tous les scientifiques peuvent être des imbéciles.
Certains d'entre eux sont.
Ah, la Corée – un autre triomphe de la politique étrangère américaine et de la campagne meurtrière de bombardements menée par le Mad Bomber lui-même, le général Curtis Lemay.
Au nord, un culte de la personnalité cauchemardesque en est à sa deuxième génération ; où les gens subissent plus de lavage de cerveau que les victimes des madrassas musulmanes, des Yeshivas juives ou des « écoles » ou missions catholiques. Où l’économie ne s’est jamais remise de la politique américaine de la terre brûlée grâce aux abrutis d’une bureaucratie venue de l’enfer.
Au sud, la version américaine : un christianisme fondamentaliste engendré par des clones de Kim Jung-un comme le révérend Moon et d’autres hommes pieux. Un pays où les gens vivent comme des sardines dans des cellules hors de prix que les dirigeants du pays ont la témérité de qualifier d'« appartements » ; un pays où ses Morlocks travaillent plus d'heures que presque n'importe quel autre endroit dans le monde, gagnent des salaires de coolie et ont moins de vacances que n'importe qui d'autre sur la planète – et en sont fiers ; et là où les drones passent le peu de temps libre dont ils disposent, ils boivent plus de boissons alcoolisées que les deuxième et troisième pays consommateurs (Russie et Philippines) réunis.
Le résultat? Des monstres au développement asymétrique comme J'hon Doe II.
Ce message est une attaque ad hominem. Je ne m'en excuse pas.
JD II est incapable de répondre à un commentaire avec une raison critique et recourt à la place à des vers aussi bien conçus que ceux de Hyundai ; et les dénonciations de mon cœur sombre et trompeur.
J'espère qu'Evangelista n'est pas là. Son intellect est plus redoutable ; c'est un adversaire plus redoutable. Se disputer avec JD II, c'est comme se disputer avec un bébé goudron.
Oui, certains scientifiques sont des imbéciles, et ma source est l'inimitable (feu) Carlo M. Cipolla.
Citation clé:
Toujours et inévitablement, tout le monde sous-estime le nombre d’individus stupides en circulation.
Le nombre réel est forcément vague, mais il est toujours supérieur à ce que l'on attend dans un groupe donné. Cipolla a fait remarquer que la règle s'appliquait même aux lauréats du prix Nobel.
http://harmful.cat-v.org/people/basic-laws-of-human-stupidity/
Paul Krugman du New York Times a récemment affiché une tendance « stupide » avec sa défense déterminée et vraiment stupide de la position d'Hillary sur les grandes banques.
Je ne dis pas que c'est toujours une ampoule à faible consommation, mais c'est un fait que son prix Nobel est un faux. L'inventeur de la dynamite n'a tout simplement pas doté celui-là – il a été fait par de riches salauds pour donner une certaine « odeur » supérieure aux cinglés de droite qui l'ont trop souvent. Pensez aux types « Milton Freidman » ici…
Apparemment, la nature vous déteste.
Vous faites preuve de compétences rhétoriques impressionnantes.
Avez-vous été formé par des Jésuites ?
Beaucoup d’entre nous détestent la religion à cause de la citation dont vous êtes si fier, du mensonge indiciblement obscène selon lequel « le cœur de l’homme est trompeur et désespérément méchant ». Une telle attribution s’applique plus justement à la divinité monstrueuse créée des profondeurs de l’ignorance de l’homme.
Les premiers chrétiens étaient membres d’une secte militante millénaire qui se considéraient comme les seuls justes dans un monde rempli de méchanceté. Dès le début, le christianisme a été marqué par l’intolérance, l’autosatisfaction et la tromperie héritées du judaïsme. Lorsque les chrétiens se sont emparés du pouvoir total au milieu du IVe siècle, leur sacerdoce s'est lancé dans une orgie de violence qui a duré deux siècles, détruisant d'anciens temples, hôpitaux et universités, massacrant prêtres, prêtresses, médecins, professeurs, pillant des siècles d'œuvres d'art sacrées et profanes. , incendiant des bibliothèques, condamnant les femmes et les homosexuels comme des démons, projetant leurs obsessions sexuelles morbides sur un peuple désormais à peine plus que les esclaves d'une église autoritaire et impitoyable, et ce faisant, envoyant l'Occident dans mille ans de stagnation intellectuelle, culturelle et technologique. .
Plus jamais!
Bien. Très bien.
En tant que descendant antisioniste de juifs, j’ajouterais deux mots à votre dernière phrase :
"Plus jamais ça, pour personne."
Par quelle autorité l’auteur juge-t-il ? Ses arguments manquent également manifestement de références, détruisant ainsi la maigre crédibilité de l’auteur. On dirait qu'il a été victime du risque professionnel majeur de l'enseignement universitaire ; il croit qu'il a toujours raison.
Vous pouvez également observer des confessions chrétiennes qui, après avoir adopté les dogmes de l'auteur, ont perdu une grande partie de leurs adeptes.
Théoriquement, l’Église a raison, sauf qu’il est presque impossible de vivre selon ses règles. Mais ne vous inquiétez pas ; personne ne fait ça, de toute façon.
Pour me stupide :
Je trouve beaucoup de références dans ce commentaire ; par exemple, expérience personnelle (je ne peux pas contester cela); Thomas d'Aquin,
La dignité des membres, le document lui-même, les principes moraux catholiques utilisés depuis longtemps pour la prise de décision, les faits que la plupart des
nous le savons en suivant les activités du Vatican, etc., etc., etc.
Pour reprendre votre critique, quelle référence avez-vous pour « Théoriquement, l’Église a raison » ? Comment sais-tu ça?
Malheureusement, la plupart des gens ne s’intéressent pas tant à la vérité qu’à avoir raison.