Mustafa al-Trabelsi, qui a été tué par les inondations, a laissé derrière lui un poème qui est lu par les réfugiés de sa ville et les Libyens de tout le pays, écrit Vijay Prashad.
L’intervention militaire de l’OTAN en 2011, qui a renversé le régime de Mouammar Kadhafi, a abouti à un État en déliquescence chaotique et meurtrier. Les Libyens paient un prix effroyable pour cette catastrophe.