Le silence a entouré les atrocités du gouvernement militaire de Mahamat Deby, qui a tué l'année dernière au moins 128 personnes lors de manifestations pro-démocratie et anti-françaises à l'échelle nationale, rapporte Pavan Kulkarni.
Le gouvernement militaire de Niamey a ordonné le départ des troupes françaises d’ici le 2 septembre. Alors que Macron refuse de se retirer et soutient une éventuelle intervention militaire de la CEDEAO, les tensions montent.