C'est ce qui motive la politique et la diffamation des médias indépendants en les traitant de pourvoyeurs de « désinformation » – protégeant et préservant les privilèges des privilégiés.
On se souviendra de Daniel Ellsberg, le lanceur d'alerte le plus éminent de l'histoire des États-Unis, dimanche à 1 heures PDT et 4 heures EDT. Regardez-le ici.
L’Ukraine est en train d’être détruite par l’arrogance américaine, prouvant une fois de plus l’adage d’Henry Kissinger selon lequel être l’ennemi de l’Amérique est dangereux, alors qu’être son ami est fatal.
Ellsberg n’aurait jamais pu faire publier les Pentagon Papers s’il n’avait pas d’abord fait quelque chose de bien plus grand, s’il n’avait pas changé sa vie – la façon dont il la vivait et ce qu’il en faisait.
Si Julian Assange est extradé, il fera l'objet de poursuites en vertu d'une loi sévère sur l'espionnage qui trouve ses racines dans la loi britannique sur les secrets officiels et qui s'inscrit dans une histoire de répression de la liberté de la presse, rapporte Joe Lauria.
Le terme « Quatrième Pouvoir » avait pris la poussière d’une antiquité négligée avant la publication des Pentagon Papers. Par la suite, il a semblé possible de considérer à nouveau la presse comme le pôle de pouvoir indépendant requis par une démocratie qui fonctionne.
L'historienne Carolyn Woods Eisenberg s'exprime sur « La fin de la « guerre américaine » au Vietnam : impact du mouvement anti-guerre américain et leçons pour le présent.
Daniel Ellsberg affirme que l’utilisation de la loi sur l’espionnage contre le journaliste Julian Assange en violation flagrante du premier amendement signifie que le premier amendement a pratiquement disparu.
Depuis 2006, WikiLeaks censure les gouvernements avec leurs propres mots. Il a fait le travail que la Constitution américaine voulait que la presse fasse, dit Joe Lauria.