Le pays évoqué par le regretté politologue arabo-américain dans ses mémoires publiés à titre posthume n’est pas un lieu réel avec de vraies personnes. C’est une terre habitée par des gens que les racistes occidentaux voudraient imaginer.
Dans le roman sorti cette année, Mohamedou Ould Slahi offre un aperçu du monde qu'il a créé pour échapper au camp de détention de Guantanamo Bay, écrit Alexander Hartwiger.
Le regretté érudit était co-fondateur du Centre d’études arabes contemporaines à Georgetown, qui remettait directement en question le récit sioniste et l’enseignement orientaliste traditionnel, écrit As`ad AbuKhalil.
Le déclin de l’Occident ne devrait pas surprendre, mais les États-Unis continuent de mener une lutte féroce contre la perspective de l’égalité entre les nations.