Depuis le National Press Club de Washington DC, regardez la rediffusion de la présentation en direct du CN samedi sur le tribunal de Belmarsh pour le journaliste emprisonné Julian Assange.
Biden, Blinken et Austin sont cités devant les tribunaux – ainsi que dans les rues du monde entier – pour leur soutien indéfectible et illégal au génocide israélien, écrit Marjorie Cohn.
Israël ne pourrait pas lancer son agression militaire contre les Palestiniens sans une aide militaire américaine de 3.8 milliards de dollars par an, écrit Marjorie Cohn.
Cette affaire, potentiellement d'une grande portée, s'appuie sur la constitution de l'État, qui consacre le droit à un environnement propre et sain, écrit Marjorie Cohn.
Renverser la « déférence Chevron » pourrait mettre en péril la protection de la santé, de la sécurité, du travail, de l'air, de l'eau, de l'alimentation et de l'environnement des Américains, écrit Marjorie Cohn.
Le système de surveillance par reconnaissance faciale viole les droits humains des Palestiniens à la liberté de mouvement et à la vie privée, écrit Marjorie Cohn.
Le double standard de la CPI dans le traitement de l'Ukraine et de la Palestine est en grande partie dû à la coercition politique des États-Unis, qui ne sont même pas partie au Statut de Rome de la Cour, écrit Marjorie Cohn.
Le lanceur d’alerte des Pentagon Papers, qui a reçu un diagnostic de cancer du pancréas, appelle à un cessez-le-feu en Ukraine. "Ce n'est pas une espèce à qui on peut confier des armes nucléaires", dit-il à Marjorie Cohn.
Marjorie Cohn couvre la décision de la Cour suprême de laisser en vigueur la loi anti-BDS de l'État – et d'ignorer le précédent juridique protégeant le droit au boycott en vertu du premier amendement.
En empêchant un vote du Conseil de sécurité de l’ONU sur les colonies illégales d’Israël, Marjorie Cohn affirme que Biden n’a pas réussi à démontrer ne serait-ce que le minimum de raison dont a fait preuve l’administration Obama-Biden.