Le Français Emmanuel Macron a suggéré la semaine dernière l'idée suicidaire d'envoyer des troupes de l'OTAN en Ukraine pour affronter militairement la Russie.
Le silence a entouré les atrocités du gouvernement militaire de Mahamat Deby, qui a tué l'année dernière au moins 128 personnes lors de manifestations pro-démocratie et anti-françaises à l'échelle nationale, rapporte Pavan Kulkarni.
Alors qu’un nouvel ordre mondial se dessine sous nos yeux, l’auteur, dans une conférence récente, réfléchit à la manière dont l’Europe peut tirer le meilleur parti de sa position à la limite orientale du monde atlantique et à la limite occidentale de l’Eurasie.
La quête de suprématie de Washington entre en conflit avec la Charte des Nations Unies et un système mondial dans lequel aucun pays ne domine, écrit Jeffrey Sachs.
Le président français s'est révélé être une girouette bien huilée. Ce qu’il dit lundi pourrait ne pas correspondre à ce qu’il dit ou fait mercredi. Mais ses remarques lors de sa visite en Chine sont intéressantes à plusieurs égards.
Loin de constituer une exception, le 16 mars marque la 100e fois sous la Ve République que l'exécutif fait appel à des pouvoirs spéciaux pour imposer une mesure impopulaire, écrit Mathias Bernard.
En contournant le Parlement et en imposant des changements au système de retraite, le gouvernement Macron a révélé la détérioration antidémocratique du système à double exécutif de la Cinquième République, écrit Muhammed Shabeer.
Meurtri en Afrique, Macron cherche une occasion de riposter à la Russie dans son propre territoire, dans le Caucase et en Asie centrale. Mais il frappe bien au-dessus de son poids, écrit le député Bhadrakumar.
Malgré une large opposition au relèvement de l'âge de la retraite, de nombreux législateurs français restent déterminés à tenir l'engagement électoral du président de réformer le système de retraite du pays, rapporte Kenny Stancil.