La prochaine administration sera confrontée à des décisions clairement inquiétantes concernant l’arsenal nucléaire américain déjà monstrueux, écrit Michael Klare.
Si l’apartheid israélien devait disparaître, le pétrole et le commerce continueraient de circuler du Moyen-Orient vers l’Occident, écrivent Jean Bricmont et Diana Johnstone.
Le diplomate le plus célèbre des États-Unis était à l’origine des traités clés de contrôle des armements nucléaires avec l’URSS, qui ont permis de contenir la possibilité d’échanges nucléaires catastrophiques.
Les Américains se comprendront de manière moins fantastique s’ils considèrent à quel point la fin du système de service sélectif il y a un demi-siècle leur a donné la permission de s’endormir.
La volonté du parti de laisser Biden se présenter à nouveau n’est que trop révélatrice des dangers et des troubles qui pourraient survenir d’ici le mardi 5 novembre 2024.