Le fait que la CIJ n’ait pas affirmé le droit d’Israël à la légitime défense est peut-être le point le plus important de cet arrêté provisoire. C'est le chien qui n'a pas aboyé.
Remarquez comment le livre sacré de l'Islam est profané chaque fois que l'Occident traverse une crise et cherche désespérément à déclencher une frénésie publique anti-musulmane ou à détourner l'attention de ses propres échecs, écrit Ramzy Baroud.