Ceux qui ne parviennent pas à faire le lien entre les abus barbares commis par les Israéliens contre les Palestiniens — génération après génération — et les crimes du 7 octobre, ont peu de compréhension de la nature humaine, écrit Jonathan Cook.
Jeudi, des représentants sud-africains ont exhorté la Cour mondiale à vérifier qu'Israël n'a pas suivi son ordre d'empêcher les actes génocidaires de ses forces militaires.
Du bombardement par Israël de l'ambassade d'Iran à Damas au raid de l'Équateur contre l'ambassade du Mexique à Quito, les dirigeants se sentent enhardis par l'impunité accordée par le Nord.
Le rapport préliminaire et non édité du Conseil des droits de l'homme de l'ONU appelle, entre autres recommandations, à un embargo immédiat sur les armes contre Israël et à une protection internationale pour les Palestiniens dans les territoires occupés.
Le Hamas parle de la frustration et du désenchantement des Arabes à l’égard de la notion de justice internationale. Deuxième d’un article en deux parties.
Israël prépare depuis longtemps la chute de l’UNRWA, conscient qu’il constitue l’un des plus grands obstacles à l’éradication des Palestiniens en tant que peuple, écrit Jonathan Cook.
L’acte de condamnation a été cyniquement transformé en arme, écrit Jonathan Cook. Le but n’est pas de faire preuve de solidarité avec les Israéliens. Il s'agit d'attiser les flammes de la haine pour rationaliser les crimes contre les Palestiniens.
En n’agissant pas contre la punition collective infligée aux Palestiniens par Israël, le Royaume-Uni, les États-Unis et l’Union européenne manquent à une obligation du droit international énoncée dans un arrêt de 2004 de la Cour internationale de Justice.
Alors que les pays ayant une influence sur Israël encouragent activement le massacre, Murray réfléchit à ce qui va se passer au niveau international et à ce qui se passe dans les sociétés occidentales.