Téhéran devra un jour ou l’autre s’occuper de Tel-Aviv, peut-être même plus encore après l’attentat terroriste au Liban. Mais l’Iran le fera à ses propres conditions, et non selon le calendrier dicté par ses ennemis.
Les auteurs évoquent les brutales mésaventures militaires américaines commises pendant la première guerre froide au nom de la défense du « monde libre », un terme que Biden a repris de manière inquiétante dans son discours sur l’état de l’Union.
Gareth Porter analyse les commentaires du ministre iranien des Affaires étrangères qui pourraient laisser présager une position différente en matière nucléaire après les élections présidentielles de la mi-juin.