Il ne suffit plus de lier les correspondants au point de vue des militaires desquels ils font leurs reportages. Nous semblons être sur le point de mener des guerres – des guerres énormes, sanglantes et lourdes de conséquences – sans aucun témoin.
Tout le journalisme grand public est désormais du « journalisme intégré », car le champ de bataille est partout, écrit Patrick Lawrence dans cet extrait de son nouveau livre, Journalists and Their Shadows.