Tag: Elliott Abrams

Demander justice pour les massacres guatémaltèques

Au Guatemala, de courageux procureurs tentent de faire respecter les responsabilités pour les viols, les tortures et les meurtres commis par le gouvernement dans les années 1980, une époque où le président Reagan et son administration étaient complices des atrocités mais restent des personnalités américaines respectées, comme l'a expliqué Allan Nairn à…

Les néocons protestent contre l’espionnage américain sur Israël

Les néoconservateurs américains sont furieux d'un rapport selon lequel les services de renseignement américains auraient espionné les efforts israéliens visant à saboter les négociations sur le nucléaire iranien, bien qu'ils restent curieusement silencieux sur les preuves selon lesquelles Israël espionne les États-Unis. Selon l'analyste de l'ex-CIA Paul R. Pillar, ce serait...

La politique égyptienne d'Obama engendre le terrorisme

Exclusif : le président Obama s'est rangé derrière la préférence israélo-saoudienne en Égypte pour la dictature brutale du général al-Sisi par rapport au gouvernement élu (mais maintenant déchu) des Frères musulmans du président Morsi, une posture si choquante que même certains États-Unis…

Comment la propagande de Reagan a réussi

Extrait des archives : Le système politique et médiatique américain est inondé de propagande qui noie tout débat rationnel sur des questions cruciales de politique étrangère. Mais comment est-ce arrivé ? Un tournant clé a été la réaction de l'administration Reagan contre le scepticisme du public à l'égard du Vietnam et des scandales de la CIA.

Les néoconservateurs cherchent à exploiter la crise ukrainienne

Les néoconservateurs américains ne perdent pas de temps à profiter de la crise ukrainienne qu’ils ont contribué à alimenter, avec l’ancien agent Reagan-Bush Elliott Abrams exhortant le Congrès à adopter une législation qui imposerait de nouvelles sanctions à l’Iran, note l’ancien analyste de la CIA Paul…

L'année du « leaker »

Exclusif : les critiques des « fuyards » Manning et Snowden affirment que les divulgations non autorisées mettent des vies en danger, mais il est plus solide de démontrer que beaucoup plus de vies ont été perdues à cause des tromperies du gouvernement sur les questions de guerre ou de paix, des mensonges rendus possibles par le secret, écrit Robert. Parer.