Tag: Dotation nationale pour la démocratie

Derrière le « changement de régime » au Brésil

La « corruption » gouvernementale – vantée par les médias internationaux et exploitée par les ONG financées par les États-Unis – est une arme privilégiée pour discréditer et destituer les dirigeants populistes, comme cela se produit actuellement au Brésil, explique Dan Steinbock.

Pourquoi la Russie a fermé les fronts NED

Exclusif : Le Washington Post, journal phare des néoconservateurs, a lancé une campagne de propagande contre le président Poutine pour avoir mis fin aux activités russes du National Endowment for Democracy, mais a laissé de côté des faits clés comme le financement du gouvernement américain par le NED, son rôle quasi-CIA et ses projets…

Comment les « marchés libres » diffament la « démocratie »

Exclusif : Le Venezuela semble suivre l’Ukraine sur la liste des néoconservateurs pour un « changement de régime » alors que Washington punit Caracas pour avoir agi contre une menace de coup d’État perçue. Mais un problème plus vaste est la façon dont les États-Unis confondent « marché libre » et « démocratie », donnant à la « démocratie » un...

La main cachée de la CIA dans les groupes « démocratiques »

Rapport spécial : Des documents de la bibliothèque présidentielle Reagan révèlent que deux institutions majeures promouvant la « démocratie » et la « liberté » – Freedom House et National Endowment for Democracy – ont travaillé main dans la main, en coulisses, avec un expert en propagande de la CIA à Washington. les années 1980, rapporte Robert Parry.

Perfectionner le « changement de régime » en Ukraine

L’administration Obama a affiné la pratique du « changement de régime », en s’éloignant des chars démodés dans les rues ou des invasions manifestes des troupes américaines, en optant plutôt pour une « promotion de la démocratie » qui s’appuie sur la « guerre de l’information » pour renverser les gouvernements élus défavorisés par les États-Unis. Washington, dit Ted Snider.

Quel est le problème avec John Kerry ?

Rapport spécial : En tant que jeune guerrier et sénateur, John Kerry a tenu tête aux politiciens qui diffusaient une propagande qui induisait le public en erreur et entraînait la mort de personnes. Aujourd'hui, à 70 ans, secrétaire d'État, il est devenu ce qu'il contestait autrefois, rapporte Robert Parry.