Pour qu’un plan d’après-guerre corresponde aux intérêts israéliens, il faudrait soumettre militairement le territoire palestinien, ce qui semble plus lointain que jamais, écrit Ramzy Baroud.
La déclaration du Premier ministre israélien dimanche a été présentée comme une mesure de représailles contre les pays qui ont récemment rejoint la majorité de la communauté internationale dans la reconnaissance d'un État palestinien.
Depuis le début du projet colonial de peuplement sioniste, écrit Fathi Nimer, on attend continuellement des Palestiniens qu’ils acceptent des offres de paix qui nient leur souveraineté.
Medea Benjamin sur les forces pro-israéliennes à Washington qui tentent de faire dérailler la demande de Karim Khan de mandats d'arrêt israéliens et du Hamas.
Netanyahu affirme que toute comparaison entre les crimes de guerre d'Israël et ceux du Hamas est « absurde et fausse », écrit Jonathan Cook. Il a raison et voici pourquoi.
Des documents récemment déclassifiés montrent ce que Canberra savait des événements qui se sont déroulés sur le terrain à Gaza après le 7 octobre, rapporte Kellie Tranter.
Armes, entraînement et espionnage : alors que la Cour pénale internationale cible Netanyahu pour crimes de guerre, Mark Curtis accuse sept responsables britanniques d’avoir aidé le Premier ministre israélien dans trois domaines.