Lorsque l’histoire de cette période sera écrite, l’accord nucléaire de 2015 conclu par Téhéran avec l’administration américaine d’un président en fin de mandat sera dépeint comme un piège.
Avec 150 groupes armés en Syrie, le parti au pouvoir HTS (Al-Qaïda) ne contrôle pas le pays, tandis que les bombardements israéliens visent à exposer les faiblesses du soi-disant gouvernement central de Damas.
L'organisation a qualifié sa victoire de 2006 sur Israël de « victoire divine ». C'était peut-être une erreur. Son expérience dans cette guerre est riche d'enseignements.
Le plan de nettoyage ethnique du président américain est le dernier volet du projet sioniste, mené depuis plus d’un siècle, visant à éradiquer les aspirations nationales des Palestiniens.
La situation en Syrie ressemble au chaos de la Libye, mais il y a beaucoup plus d’acteurs (locaux et externes) en action, ce qui rend difficile de prévoir ce qui va se passer.
Il existe toujours des espoirs – jusqu’à présent infondés – qu’au cours d’un second mandat, le président américain se montrera plus clément envers les Arabes.
Le Hezbollah s’est jusqu’à présent concentré sur des cibles militaires et a délibérément évité les civils. Cette situation pourrait bientôt changer si Israël continue de massacrer des innocents.
L'auteur revient sur le leader assassiné du Hezbollah, Hassan Nasrallah, sur les fois où il l'a interviewé et sur l'impact de son assassinat sur la région.
Des milliers de Palestiniens – et d’autres Arabes – planifieront de violents actes de vengeance contre Gaza. Jusqu’où les gouvernements arabes iront-ils pour protéger les intérêts américains et israéliens de leurs populations en colère ?
Il y a suffisamment de choses dans le document pour déclarer la naissance d’un nouveau mouvement Hamas, qui rompt avec ses premières années de fondation.