
Et maintenant ? L'ancien diplomate britannique Alastair Crooke évoque les conséquences de la fin d'une dynastie de 55 ans en Syrie.
Les planificateurs militaires ont tiré les mauvaises leçons de la guerre du Vietnam, se concentrant sur la « possibilité de gagner » de la guerre plutôt que de se demander s'il fallait s'y engager, note Alastair Crooke.
Certains de nos articles spéciaux de novembre traitaient des manquements logiques et probants de l’enquête sur le Russiagate et du bombardement de la Syrie par le président Trump à la suite d’une attaque douteuse à l’arme chimique.
Certains de nos reportages spéciaux d’octobre traitaient de l’impact du changement climatique, du rôle saoudien dans l’effusion de sang au Moyen-Orient, ainsi que du mélodrame actuel du Russiagate et de ses conséquences pour le journalisme.
Le président Trump et son gendre avaient parié que le jeune prince héritier saoudien pourrait exécuter un plan visant à remodeler le Moyen-Orient, mais le projet s’est rapidement révélé révélateur d’une dangereuse heure d’amateur, écrit l’ancien diplomate britannique Alastair Crooke.
Furieux de la défaite en Syrie, le prince héritier d'Arabie saoudite joue à nouveau, arrêtant ses rivaux dans son pays et provoquant une crise politique au Liban, mais il ne dispose peut-être pas des atouts géopolitiques nécessaires pour réussir son pari, a déclaré l'ancien diplomate britannique Alastair Crooke.