Une lutte puissante en Nouvelle-Calédonie entre les peuples autochtones et les autorités coloniales françaises se déroule sur fond d’intensification de la militarisation du Pacifique menée par les États-Unis.
Le forum des Nations Unies sur le développement qui s'achève jeudi rappelle l'aspiration exprimée l'année dernière par le président colombien Petro pour que l'humanité « vive loin de l'apocalypse et des temps d'extinction ».
L’escalade de la guerre entre la Russie et l’Ukraine au sein de l’OTAN ainsi que le conflit croissant autour de la Chine sont plus dangereux que la crise des missiles de Cuba.
Les récentes spéculations en Inde sur l’effondrement de l’accord saoudien sur le pétrodollar avec les États-Unis se sont révélées fausses. Vijay Prashad considère trois facteurs qui peuvent alimenter une telle rumeur.
Le massacre perpétré par Israël dans le camp de tentes de Rafah n'est que le dernier en date. Depuis des décennies, Tel Aviv – comme Washington – défie toute tentative d’appliquer le droit international humanitaire à ses actions.
Dans le Rio Grande do Sul, au Brésil, des millions de personnes souffrent d'inondations extrêmes. Au milieu des eaux, le Mouvement des travailleurs sans terre se concentre sur l'aide d'urgence.
Alors que les États-Unis célèbrent un financement militaire de 95.3 milliards de dollars pour Israël, Taiwan, l’Ukraine et eux-mêmes, voici un aperçu de la stratégie indo-pacifique de Washington et de ses enjeux.
Il n’y a aucune ambiguïté sur le fait qu’Israël soit à l’origine de l’occupation, de l’apartheid et du génocide de Gaza. Pour contrer le négationnisme israélien, voici un bref aperçu des raisons pour lesquelles ces termes sont exacts.