Alors que les horreurs à Gaza s’aggravaient, le Congrès américain a applaudi Netanyahu pour avoir exigé davantage d’armes. En revanche, Pékin a accueilli des factions palestiniennes, appelant à l’unité et à la paix.
Le 7 octobre a été un événement décisif pour la politique arabe avec l’émergence d’une force qui s’engage militairement auprès d’Israël au nom des Palestiniens. L’ère de Yasser Arafat est révolue.
Depuis le début du projet colonial de peuplement sioniste, écrit Fathi Nimer, on attend continuellement des Palestiniens qu’ils acceptent des offres de paix qui nient leur souveraineté.
Même s’il ne faut pas exagérer leur impact final, les manifestations en faveur de la Palestine qui ont lieu sur les campus universitaires américains sont historiques.
Cela pourrait être une nouvelle ère arabe. La distance entre les dirigeants et le public n’a jamais été aussi grande. Le peuple arabe, soumis à des conditions strictes de répression, est descendu dans les médias sociaux et dans la rue pour faire connaître sa colère au monde.
Le député Bhadrakumar analyse les développements de ces derniers jours, notamment l'annonce américaine du déploiement d'un énorme sous-marin nucléaire à proximité de la zone de guerre.
Dan Steinbock expose le contexte de la solution finale apparente du gouvernement Netanyahu, actuellement en cours, pour le territoire palestinien. Partie 4 d'une série de 5 parties.