Comme dans le roman dystopique 1984, la propagande occidentale qui semble dirigée contre Moscou et Pékin est en réalité destinée aux citoyens du soi-disant monde libre, écrit le diplomate australien à la retraite Tony Kevin.
Comme dans le roman dystopique 1984, la propagande occidentale qui semble dirigée contre Moscou et Pékin est en réalité destinée aux citoyens du soi-disant monde libre, écrit le diplomate australien à la retraite Tony Kevin.