
Après avoir promis de diriger un gouvernement transparent, le président Obama a supervisé une attaque judiciaire sans précédent contre les lanceurs d’alerte, offrant seulement maintenant une modeste concession, comme l’explique Linda Lewis.
Avec la portée désormais mondiale de la surveillance américaine et le déploiement de l'armée américaine dans le monde entier, la colère face à la répression sans précédent du président Obama contre les lanceurs d'alerte qui révèlent les abus et les crimes du gouvernement américain est devenue internationale, comme le montre cet article d'opinion norvégien de Victor Wallis.
Bien que le président Obama présente l’Amérique comme une nation de lois et de justice impartiale, il existe un double standard flagrant quant à la manière dont les gens sont punis pour les atteintes à la sécurité nationale. Les lanceurs d’alerte sont sévèrement punis, mais ceux qui ont de bonnes relations obtiennent un laissez-passer, écrit John Hanrahan.
Exclusif : La fuite de la condamnation de l'ancien officier de la CIA Jeffrey Sterling a révélé une série de doubles standards, de la façon dont l'agence de renseignement traite les Afro-Américains à la façon dont des fonctionnaires favorisés comme le général David Petraeus obtiennent un laissez-passer tandis que d'autres sont emprisonnés, un problème maintenant…
La guerre du président Obama contre les lanceurs d'alerte se poursuit avec l'envoi de l'ancien officier de la CIA Jeffrey Sterling dans une prison fédérale du Colorado, loin de son domicile et de sa famille. Dans le cas de Sterling, il y a aussi la question inquiétante de la race, comme l'explique Norman Solomon.
Les poursuites engagées avec succès par le gouvernement américain contre l'ancien officier de la CIA Jeffrey Sterling pour avoir divulgué à la presse des secrets sur une opération secrète ratée font suite à une longue campagne contre lui pour avoir protesté contre la discrimination raciale au sein de l'agence d'espionnage, écrit Norman Solomon.
Exclusif : Quelques semaines seulement après que l'ancien directeur de la CIA David Petraeus ait reçu une gifle sans peine de prison pour avoir divulgué des secrets à son biographe/amant, l'ancien officier de la CIA Jeffrey Sterling a été condamné à 42 mois de prison pour avoir prétendument alerté un journaliste américain d'une affaire douteuse. opération secrète, un double standard de justice,…
L’expansion de l’espionnage des citoyens par le gouvernement américain après le 9 septembre a coïncidé avec une répression tout aussi draconienne contre les lanceurs d’alerte du gouvernement qui tentent d’alerter le peuple américain sur ce qui se passe, une attaque contre la Constitution qui, selon sept lanceurs d’alerte, doit…
Dans le but de protéger les secrets gouvernementaux, la CIA et le ministère de la Justice ont donné l'exemple à l'ancien officier de la CIA Jeffrey Sterling en le condamnant pour avoir dévoilé une opération secrète douteuse sans présenter de preuves claires de son fait, un message effrayant pour les autres, note Norman. …
Certains groupes de journalisme soutiennent les journalistes qui utilisent des sources anonymes mais évitent les personnes accusées d'agir en tant que sources, une double norme qui a laissé l'ancien officier de la CIA Jeffrey Sterling presque seul face aux représailles du gouvernement, comme Norman…