Le secrétaire d’État américain a ignoré les preuves de guerre de siège contre les civils à Gaza parce qu’il savait qu’il n’en subirait aucune conséquence, écrit Caitlin Johnstone.
Le journalisme n’est pas comme la guerre : dans la guerre, les vainqueurs écrivent l’histoire ; dans le journalisme d'aujourd'hui, ce sont les perdants qui l'écrivent.
Parmi les monstres américains des marais engagés par Canberra se trouve le chef des services de renseignement de l’administration Obama, qui a une longue expérience en matière de mensonge et de manipulation pour promouvoir les intérêts de l’empire américain.
Les arguments en faveur de l’invasion de l’Irak le 19 mars 2003 reposaient sur une NIE prête non pas à déterminer la vérité, mais plutôt à « justifier » une guerre préventive, alors qu’il n’y avait rien à anticiper.
À l’occasion de l’anniversaire de « l’évaluation » accusant la Russie d’ingérence dans les élections de 2016, il n’y a toujours aucune preuve autre que la preuve que les médias sont « de connivence » avec les espions, a écrit Ray McGovern le 7 janvier 2019.
L’éditeur emprisonné a été attaqué cette semaine lors d’un événement de contre-espionnage de grande envergure à Washington avec le même genre d’insinuations qu’un gang plus important, en 2019, a lancé à l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden.
L’espoir est que le diplomate William Burns, nommé directeur de la CIA par Joe Biden, sera capable de changer la culture à Langley et de ne pas se laisser submerger par elle.
VIPS espère que le président élu Joe Biden évitera de lui tendre une souricière qui rendrait plus difficile à son administration de traiter de manière raisonnable avec la Russie.
La manipulation grossière des analyses de la CIA sous George W. Bush a poussé une nouvelle génération de « béni-oui-oui-oui » aux échelons supérieurs de l'agence et maintenant l'un d'entre eux est considéré par Joe Biden pour le poste le plus élevé, écrit Ray, ancien analyste de la CIA.
Face aux incertitudes qui pèsent sur l’action de Donald Trump face à une sortie de la Maison Blanche, l’éventuelle déclassification de certains documents fait transpirer l’ancien directeur de la CIA.