De toutes les apologies révisionnistes épouvantables des crimes de guerre lancées lors du 20e anniversaire de l’invasion américaine de l’Irak, la pire est un article dans la National Review rédigé par le morse du génocide lui-même.
Il est absolument insensé que les personnes qui ont contribué à déclencher l’horreur qu’est la guerre en Irak sur le monde ne soient pas seulement incarcérées, mais qu’elles soient activement défendues et célébrées sur les plateformes les plus influentes d’Occident.
La coterie irresponsable des néoconservateurs et des interventionnistes libéraux qui ont orchestré deux décennies de fiascos militaires au Moyen-Orient alimente désormais une guerre suicidaire avec la Russie.