Le parti politique et groupe militant appelant à la libération de la Palestine a pris en compte les conditions nationales et régionales dans sa réponse à la guerre génocidaire d'Israël.
Le 7 octobre a été un événement décisif pour la politique arabe avec l’émergence d’une force qui s’engage militairement auprès d’Israël au nom des Palestiniens. L’ère de Yasser Arafat est révolue.
Même s’il ne faut pas exagérer leur impact final, les manifestations en faveur de la Palestine qui ont lieu sur les campus universitaires américains sont historiques.
Le statut des Émirats à Washington est le fruit d’un lobbying intense, d’un financement généreux et d’un rapprochement avec Israël, quels que soient les crimes de guerre de ce dernier dans la région.
Le Hamas parle de la frustration et du désenchantement des Arabes à l’égard de la notion de justice internationale. Deuxième d’un article en deux parties.
Le camp arabe libéral pense que la décision de la CIJ mènera à un règlement pacifique de la question palestinienne, tandis que le camp populaire a perdu confiance dans les organisations internationales, dont la CIJ.
Personne ne croit vraiment qu'il existe une menace pour les étudiants juifs sur les campus ou que les étudiants pro-palestiniens soumettent leurs camarades de classe juifs à des abus ou à du harcèlement.