
C’est le désespoir qui nous tue. Il nourrit ce que Roger Lancaster appelle la « solidarité empoisonnée », l’ivresse forgée par les énergies négatives de la peur, de l’envie, de la haine et du désir de violence.
Quel que soit le résultat, les élections américaines n’arrêteront pas la montée de l’hypernationalisme, des sectes de crise et d’autres signes du déclin final d’un empire, écrit Chris Hedges.